TEAMCOACHING MAROC: Le voyage incentive !

TEAMCOACHING MAROC: Le voyage incentive !

Lorsqu’une entreprise envisage d’organiser un tourisme incentive ou un tourisme d’affaire, il est important d’étudier quelques questions en rapport avec ce voyage entreprise.

Le voyage entreprise et les questions à étudier

L’improvisation ne joue pas dans ce genre de projet. Tout doit être étudié afin de bien atteindre les objectifs voulus avec un voyage d’entreprise. Ainsi, il faut choisir l’endroit où devra se dérouler le tourisme incentive, puisque le lieu est l’un des points majeurs du tourisme incentive.Quel rapport existe entre le lieu et les valeurs de l’entreprise ? Quels seront les objectifs visés lors de ce voyage d’entreprise ? Il faut également définir le programme ainsi que le budget du voyage.

Recourir à une agence incentive

Pour une entreprise de grande envergure, recourir à une agence incentive est la solution idéale pour réussir un tourisme d’affaire ou pour passer un séjour insolite dans le lieu de destination. Habituellement, une agence incentive propose différentes organisations qui doivent être réalisées sur mesure, car chaque entreprise possède des attentes bien spécifiques. Que ce soit un voyage de motivation, un team building, un congrès, une journée porte ouverte ou un séminaire, une agence incentive possède le savoir-faire et l’expérience à cet effet.

Pourquoi un séjour insolite ?

Devenu à la mode en ce moment, le voyage insolite attire de plus en plus les entreprises pour la simple raison que le séjour insolite se passe dans un endroit insolite avec des programmes insolites. En effet, dans le cadre des affaires, il est rare de voir des collaborateurs qu’on voit régulièrement en costume cravate qui pratiquent un sport collectif ou une activité ludique. Or, c’est ce que recherche une entreprise lors d’un tourisme incentive ou d’un tourisme d’affaire. Les sports et activités ludiques comme l’alpinisme, le ski, la découverte, le canyoning, le safari ou encore le trek font revivre et insuffler les sentiments de la concurrence et de l’exploit chez l’équipe, d’où l’importance de passer un séjour insolite dans un lieu inédit.


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Organiser un voyage incentive avec TEAMCOACHING MAROC !

VOYAGE INCENTIVE

Organiser un voyage incentive présente de multiples avantages pour dynamiser et fédérer votre équipe de travail. Qu’il s’agisse de renforcer la cohésion au sein d’un groupe, de motiver ou de récompenser vos collaborateurs en leur offrant un séjour culturel ou touristique, le voyage incentive est aujourd’hui un outil de management incontournable. Néanmoins pour être réussi et atteindre ses objectifs, celui-ci se doit d’être organisé avec soin et rigueur.

Faire appel à notre agence incentive vous permettra de planifier et d’optimiser votre voyage selon vos objectifs et votre budget.

Les objectifs du voyage incentive

De nombreuses raisons peuvent pousser une entreprise à organiser un voyage incentive.

Récompenser et motiver

Un voyage professionnel représente l’opportunité de récompenser vos collaborateurs pour leur travail, ou pour avoir atteint certains objectifs. On parle alors de voyage de motivation ou de récompense : seuls les équipes ou les employés les plus méritants ayant contribué à la réussite de l’entreprise peuvent alors y prendre part. Ce type d’initiative va alors servir de moteur et stimuler les ambitions professionnelles de vos collaborateurs.

Réunir

Ce type de voyage de groupe peut aussi être l’occasion de réunir l’ensemble de vos collaborateurs, clients ou contacts professionnels dans le but de renforcer les échanges et de favoriser la cohésion du groupe. Le voyage incentive permet ainsi, au travers d’activités de team building, de souder les employés d’une même entreprise et de renforcer le sentiment d’appartenance à l’entreprise.

Rencontrer

C’est l’occasion pour les dirigeants de rencontrer leurs équipes de commerciaux, prestataires et employés, et pour des collaborateurs travaillant d’ordinaire sur des sites différents d’échanger de vive voix. Lorsque des clients sont également conviés, le voyage incentive va vous donner la possibilité de présenter votre entreprise sous un nouveau jour et de communiquer sur vos produits ou services d’une manière plus détendue et informelle.

Communiquer

Il est aussi possible de profiter de l’occasion pour organiser un séminaire incentive à l’étranger. Ce type de séjour vous permettra de faire le point sur les activités et le futur de votre entreprise mais aussi de dynamiser l’ouverture au monde de vos employés et partenaires. Que vous souhaitiez étudier de nouvelles méthodes de travail ou de nouveaux marchés, vous avez tout intérêt à planifier un séminaire à l’étranger.

Organisation de votre voyage incentive

Pour organiser votre voyage, il est essentiel de faire appel à une agence spécialisée qui saura vous accompagner du cahier des charges initial au débriefing final.

teamcoachingmaroc.com confectionnera ainsi pour vous un voyage sur-mesure et un programme d’activités vous permettant d’atteindre vos objectifs. Nos experts s’occupent de toutes les étapes de la préparation logistique du voyage : transport, location de salles, restauration, activités, visites, hébergement, et se chargent de négocier chacun de ces services au meilleur prix auprès de partenaires partout au Maroc pour optimiser votre budget.

Notre agence incentive vous garantit des prestations originales et conformes à vos attentes et une parfaite coordination qui fera de votre voyage d’entreprise une réussite à tous points de vue. Grâce à notre expérience et à notre réseau de partenaires, nous sommes sûrs de trouver des solutions adaptées à vos besoins.

En choisissant Team Coaching Maroc, vous assurez le bénéfice des services de qualité alliant créativité, rigueur et savoir-faire et d’un voyage à la fois agréable et fructueux. Un interlocuteur dédié à votre projet vous accompagnera tout au long de la planification de votre séjour et se chargera de suivre tous les aspects de votre voyage.

 

10 CONSEILS POUR ORGANISER VOTRE SÉMINAIRE !

Devenu incontournable au sein de l’entreprise et du monde professionnel, le séminaire contribue à l’apport de nombreuses vertus au sein d’une entité, d’une entreprise ou d’une équipe professionnelle. En rassemblant ses collaborateurs dans un cadre extérieur au lieu de travail (hôtel, domaine, stade), le manager  sollicite ces derniers pour plusieurs raisons : les féliciter, faire le bilan d’une période donnée, ou encore, pour exposer les objectifs à venir.

Mais le séminaire va bien au-delà de la simple rencontre entre employés et dirigeants d’une même entreprise ; il est désormais  source de création de liens entre ces derniers. En effet, grâce à la mise en place d’activités annexes d’Incentive ou de Team Building, les différents acteurs  sont confrontés à diverses situations, mettant alors à l’épreuve leur esprit d’esprit et leur sens de la cohésion. En se sentant valorisés et impliqués, les participants  sortiront grandis de cet événement.

Expert depuis 20 ans dans la création, l’organisation et l’accompagnement d’évènements Incentive, Team Coaching Maroc vous offre quelques conseils pour faciliter la mise en place de vos futurs séminaires :

 

1 – Prévoir à l’avance

 

Prévoir rend le pas assuré.

En prévoyant votre évènement entre 3 et 5 mois à l’avance, vous bénéficierez de plus de temps et de souplesse pour rassembler tous les éléments nécessaires au bon déroulement de votre séminaire.

 

2 – Etablir vos objectifs

 

Renforcer la cohésion votre équipe ? Obtenir des retours d’expérience ? Résoudre un problème lié à votre entreprise ? Nombreux sont les objectifs que peut comporter votre séminaire ; pensez donc à bien les déterminer en amont et de veiller à pouvoir les traiter de manière efficace lors de votre rassemblement.

 

3 - Spécifier la durée du séminaire

 

En fonction de vos attentes et de vos objectifs, votre séminaire devra s’étendre sur plusieurs jours. Pensez aux participants ayant fait de la route en prévoyant un logement ou une chambre pour les nuitées engendrées. La durée moyenne de nos séminaires varie entre 2 et 5 jours.

 

4 – Définir votre budget

 

En budgétisant au préalable votre projet, vous apportez un cadre nécessaire à l’élaboration de celui-ci. Cela vous permettra de mieux sélectionner le lieu, les prestataires ou encore les « plus » apportés aux participants.

 

5 - Déterminer un lieu accessible à tous

 

Qu’il s’agisse d’un hôtel prestigieux, d'une station balnéaire ou d’autres établissements plus abordables par exemple, le lieu doit être en adéquation avec l’identité de votre société et du standing que vous souhaitez véhiculer. Veillez au fait que le lieu se doit d’être accessible par l’ensemble des participants : pour y accéder, s’y garer (si nécessaire) ou pour s’y déplacer en son sein (dans le cadre de travailleurs handicapés).

 

6 – Sélectionnez la date pour votre évènement

 

Il est recommandable de choisir une date favorisant le plus haut taux de participation de la part des personnes conviées. En fonction de votre budget ou du lieu choisi, la question de basse ou haute saison entrera également en ligne de compte.

 

7 – Choisir vos participants et leur nombre

 

L’équipe dirigeante, une unité commerciale, un service entier, vos clients les plus fidèles… A vous de déterminer quels sont les participants que vous souhaitez avoir lors de votre séminaire. Faites en sorte que votre lieu puisse accueillir aisément l’ensemble des personnes conviées. Team Coaching Maroc organise et encadre des séminaires pouvant aller jusqu’à 500 personnes !

 

8 – Optimiser votre temps

 

Planifier le déroulement de votre séminaire est essentiel. Pensez aux diverses pauses nécessaires à la bonne concentration des participants ainsi qu’à la durée des activités ou des repas.

 

9 – Prévoir des activités annexes

 

Les activités dites de « Team Building » permettent de faire souffler les participants et de les couper quelques instants du cadre du travail. En mettant en place un Challenge multi-activités ou la découverte de lieux insolites, Team Coaching Maroc prendra le soin de vous accompagner parfaitement dans vos différentes démarches, visant à renforcer la cohésion d’équipe des personnes présentes, par exemple.

 

10 - Déterminer les besoins

 

Si vous souhaitez présenter un film corporate ou l’évolution de vos chiffres via un PowerPoint, un rétroprojecteur et une salle adaptée seront peut être nécessaires. Il est donc important de penser à tous les éléments indispensables au bon déroulement du séminaire : Wi-Fi, petits déjeuners, climatisation etc.

Organiser un séminaire original avec TEAMCOACHING MAROC !

Un séminaire est un moyen efficace pour remotiver l’équipe, lancer un nouveau produit, améliorer l’image de l’entreprise… Mais si vous gardez la même formule plusieurs années d’affilée, vos collaborateurs risquent de se lasser très vite. Pour redonner du sens à vos réunions de travail, pensez à organiser un séminaire original. Il est parfois nécessaire d’ajouter une touche d’exotisme pour parfaire un colloque ou un team building. Cet article vous révèle tout ce qu’il faut savoir pour organiser un séminaire que vos collaborateurs n’oublieront pas de sitôt !

Séminaire original : place à un planning moins contraignant

Un séminaire d’entreprise est l’occasion de s’échapper de l’atmosphère pesante et oppressante des bureaux. Afin de permettre à vos collaborateurs de se ressourcer et mieux se focaliser sur les objectifs du colloque, vous devez faire preuve de souplesse dans le planning.

Évitez les réunions qui s’éternisent et allez droit au but. C’est le meilleur moyen de véhiculer le message que vous voulez transmettre. Par ailleurs n’enchaînez pas les réunions de travail pensez à organiser des petites pauses. Et pourquoi ne pas inviter un intervenant extérieur qui mettra du piment à votre team building ? Un sportif, un acteur majeur dans votre domaine d’activités, etc. Vous avez l’embarras du choix.

Pour faire court, alternez travail, détente et activité. Le but est d’avoir des collaborateurs réceptifs et ouverts pendant toute la durée duséminaire original.

Choisir une thématique insolite

Le choix d’un thème particulier est un élément clé pour organiser un séminaire d’entreprise original. Sport, musique, voyage, saison, etc.  Ces thèmes ont toujours la côte, mais ils sont trop communs. Avec un thème original comme, exploration, casino, cabaret… vous êtes sûr de susciter la curiosité de vos collaborateurs. Ainsi il vous sera plus facile de les convaincre de participer à votre team building, colloque ou petit séminaire.

Un lieu atypique pour organiser un séminaire d’entreprise

Pour un team building hors du commun, oubliez la salle de séminaire classique et louez un espace atypique. Choisissez un endroit qui sort vraiment de l’ordinaire. Un lieu qui laissera une bonne impression chez vos invités. L’émerveillement peut donner naissance à des idées novatrices et renforce d’autant plus l’efficacité du séminaire d’entreprise.

De plus, une petite réunion loin du décor habituel est plus à même d’ouvrir les esprits pour décupler l’attention et la créativité de chaque participant. Voici quelques exemples de lieux atypiques.

En pleine nature

Une ambiance décontractée au plus près de la nature peut mettre au grand jour les aptitudes et la personnalité des participants. De plus un séminaire au vert met tout le monde au même niveau hiérarchique. Ce qui a le don d’abattre certains murs et de favoriser la participation de chacun.

Un château

Pour un team building exceptionnel, vous vous devez de choisir un endroit exceptionnel. De nombreux châteaux se sont reconvertis en salle de séminaire pour le plus grand bonheur de ceux en quête d’originalité. Les grands espaces verts et les jardins facilitent l’échange d’idées et d’informations. Vos collaborateurs apprécieront de visiter chaque recoin du lieu tout en travaillant.

À la montagne

La montagne constitue un endroit idéal pour tenir des séminaires. En effet, que ce soit en été ou en hiver, le paysage montagneux vous garantit un dépaysement remarquable. Par ailleurs, elle offre de nombreuses activités insolites pour pimenter un colloque original.

À la mer

Lieu de détente par excellence, la mer offre un cadre convivial et festif. Les nombreux hôtels séminaire et résidences ou lofts bordant le littoral constituent l’endroit parfait pour tenir un team building. Rien de tel qu’un décor de rêve pour motiver vos collaborateurs, alors pensez à réserver une salle de séminaire en bord de mer.

À l’étranger

Même si notre pays n’a rien à envier aux autres, il est parfois nécessaire de partir un peu loin pour donner un nouvel élan à l’équipe. L’Espagne, l’Angleterre, l’Allemagne vous pouvez même réserver une salle de séminaire aux Pays-Bas. Ces pays ouvrent leurs portes aux professionnels en quête de séminaire original et inoubliable. De plus, le dépaysement et l’appréhension d’être dans un pays inconnu favorisent l’esprit d’équipe et le travail de groupe.

Bon à savoir : le choix du lieu doit être en accord avec la date, la thématique adoptée pour le séminaire et le budget alloué.

Quelles activités proposer pour un séminaire d’entreprise original ?

Comme on l’a dit plus haut, les activités dépendent directement du lieu choisi et de l’objectif du séminaire. Pour que votre séminaire reste dans les mémoires, choisissez des activités qui sortent de l’ordinaire.

Activités de plein air

Au lieu de proposer les activités sportives ou artistiques habituelles faisant rarement l’unanimité au sein des participants, optez pour des activités accessibles à tous sans distinction d’âge ni de forme physique. Voici quelques exemples.

La course d’orientation constitue l’activité idéale pour établir un esprit de cohésion entre les différents participants. D’ailleurs, pour rester dans l’air du temps une version 2.0 de cette activité existe faisant abstraction des cartes et boussoles pour faire place aux smartphones et tablettes.

Les activités de simulation de survie en pleine nature permettent également de souder une équipe et de répartir efficacement les rôles de chacun. Cependant, il ne faut pas pousser les conditions à l’extrême. L’objectif c’est la cohésion et le développement personnel de chacun et non la compétition.

Toutes les activités collectives nécessitant un travail d’équipe sont également éligibles : paintball, laser game, etc.

Activités d’intérieur

Selon le lieu, vous disposez d’une myriade d’animations pour un  team building au sein de l’entreprise . L’une des activités qui ont le vent en poupe en ce moment c’est l’escape « The room ». L’objectif de cette activité est de s’évader d’une pièce en résolvant des énigmes et des mystères. Aussi travail d’équipe et capacité de raisonnement sont de mise. Il n’y a pas mieux pour fédérer vos collaborateurs.

Casablanca : une destination incontournable pour les voyageurs d'affaires !

Tanger, Fès, Marrakech : tout le monde connaît, tout le monde en rêve. Mais Casablanca ? Le nom de la plus grande ville du Maroc – 3,8 millions d’habitants – ne génère que peu de fantasmes, sinon, pour les cinéphiles avertis, celui du souvenir d’Ingrid Bergman et Humphrey Bogart s’embrassant au Rick’s Cafe. Bref, le fait semble établi : si les Français prennent un avion pour Casablanca, ce n’est pas pour des vacances mais pour faire des affaires. Beaucoup d’affaires : la France mobilise près de la moitié du commerce extérieur du Maroc avec l’Union européenne et a réalisé, à elle seule, près de 54 % des investissements étrangers faits au Maroc sur la période 1999-2003. Et c’est bien à Casablanca que sont implantées la plupart des 500 filiales françaises qui ont choisi le sol marocain.

Mais Casablanca ne se résume pas à un lieu de travail. À côté du développement du nouveau Technopark et de Sidi Marouf, la “Silicon Valley du Maroc” où sont implantés IBM, Microsoft et une grande partie des centres d’appels, Casablanca n’oublie pas pour autant le secteur des loisirs, avec une palette particulièrement étendue. Les voyageurs d’affaires ne sont donc pas condamnés à se terrer dans leur chambre d’hôtel à la sortie de leurs réunions, même s’ils ont déjà épuisé les solutions les plus courues : visite de la grande mosquée Hassan II, coup d’œil sur le patrimoine Art déco, shopping “artisanal” dans le quartier des Habbou. “Bien sûr, Casablanca a grandi avec le business, et on ne vient pas ici pour chercher du folklore comme dans les autres grandes destinations touristiques du Maroc”, constate Mathilde Delcroix, directeur technique de Team Travel Service, “mais Casablanca offre quelque chose de totalement différent : une véritable ambiance urbaine, plus authentique.”

 

De la rue à la plage, opération propreté

Authentique, mais pas forcément relâchée. Réorganisation des transports, illumination des bâtiments, programme de plantation d’un million d’arbres : la ville s’efforce de faire peau neuve. “Tout a changé ici depuis trois ans. Les visiteurs sont heureux de constater la propreté des rues. Même si les premiers bénéficiaires de ces opérations de nettoyage sont bien sûr les Casablancais eux-mêmes”, remarque Ibtissame Benchekroun, inspecteur divisionnaire de l’office national marocain du tourisme. La grande toilette s’est également étendue sur les plages de la ville, derrière la Corniche où les piscines privées aux noms évocateurs – Miami, Acapulco, Tropicana, Tahiti… – continuent de bénéficier des faveurs des plus nantis. “Ici, en août, c’est bondé en permanence, même si le tarif monte à 80 dirhams (7,3 euros) la journée”, note la caissière du Miami Plage, où touristes et locaux se mêlent sur la grève, autour des bassins et des bungalows.

Passé sept heures du soir, la Corniche devient le symbole de cette urbanité décontractée propre à Casablanca : on déambule entre pubs et piano-bars, on dîne en surplomb de l’océan au Petit Rocher ou à la Fibule, on va au spectacle ou au cinéma, dans le nouveau complexe du Mégarama ; on dort, aussi, dans des palaces comme le Riad Salam ou dans l’ambiance plus “hôtel des Flots bleus” des quatre et trois-étoiles qui jalonnent l’artère maritime.

Le golf, point de ralliement

Ceux qui n’apprécient pas cette ambiance de station balnéaire tellement connotée dolce vita Afrique du Nord, pourront toujours se rabattre sur le golf. Pas en grande banlieue mais en plein centre-ville, au Royal Golf Club d’Anfa situé dans le quartier très chic d’Aïn Diab où le vent des Mercedes et des Jaguar berce les palmiers. Un neuf trous créé, selon la légende, pour satisfaire les désirs golfiques de Churchill à l’occasion de la célèbre conférence d’Anfa (1943). La nécessité diplomatique a engendré un club select de 3800 membres, devenu point de ralliement central de la high society casablancaise, locaux et expatriés mélangés. “Bien sûr, ceux qui veulent un 18 trous ont toujours la possibilité de se diriger vers le Royal Golf Club de Mohammedia : c’est à 15 minutes d’ici seulement en voiture”, précise M. Belgrini, directeur du club. Mais les vrais esthètes abandonneront difficilement les charmes du green avec vue sur le minaret de la Grande Mosquée.

Incentive au Maroc !

Au Maroc, les médinas, c’est-à-dire les vieilles villes pour la plupart restées dans leurs traditions, font les plus beaux souvenirs des touristes d’affaires. Elles sont toutes un peu semblables, et pourtant elles ont toutes leur propre personnalité.

Ce verre de thé à la menthe aux bords embués par le liquide brûlant n’est pas un simple verre de thé à la menthe. C’est un symbole, tout un esprit ; l’éloge d’une lenteur orientale posée sur une table de bistrot de faïence bleue. On resterait comme ça des heures durant, à flotter dans une espèce de vide contemplatif. D’autant que les pergolas du Café Maure, à Rabat, surplombent à la fois l’embouchure du fleuve Bouregreg et l’océan Atlantique, lui donnant un très large champ de vision. Tout juste y a-t-il de l’autre côté du fleuve, presque comme une frontière, la ligne franche des maisons blanches de la ville de Salé, sœur jumelle de la tranquille capitale du Maroc, pour barrer un peu la vue.

C’est que le Café Maure, tout en terrasses et tonnelles, est une vraie institution à Rabat. On se doit de s’y poser à un moment ou à un autre, seul ou en groupe, le lieu pouvant même se privatiser. Le roi Hassan II ne l’a-t-il pas fait en son temps, y fêtant son anniversaire dans le faste ? Pour le manquer, ce café iconique, il faudrait vraiment le faire exprès. Car il est situé dans la casbah des Oudaïas, l’un des must de la découverte de la ville. C’est la partie la plus ancienne de Rabat, et sans aucun doute la plus charmante, si calme avec ses ruelles pentues, ses pavés malhabiles, ses murs blanchis à la chaux et peints à mi-hauteur de bleus éclatants, ses bouquets de bougainvilliers ou de lauriers roses en cascade ; parfois des poules et, surtout, partout des chats…

Le monde coloré des médinas

Des médinas et des casbahs, on en prendra tout son saoul lors de ce périple dans le nord-ouest du Maroc. Avec ou sans monument classé, elles sont l’âme du pays et, loin des shopping malls désincarnés des villes modernes, drainent un monde coloré œuvrant dans une organisation presque médiévale : quartiers découpés par corps de métiers, riches palais et humbles maisons contiguës, estaminets de quatre ou cinq tables, improbables échoppes vendant tout et n’importe quoi, épices à profusion et produits de la terre écoulés chaque jour à même le pavé par les paysans du coin. En fond sonore, de la musique orientale échappée de quelque CD probablement piraté, parfois un classique de Fairouz ou d’Oum Kalthoum, mais aussi du rock, de la techno ou bien encore du rap. C’est comme ça dans toutes les villes marocaines, chacune ayant son propre visage, presque sa spécialité, distillant dans tous les cas une atmosphère unique. Voyons.

En remontant sur Tanger, en longeant donc les plages infinies de l’Atlantique, manquer la ravissante et minuscule cité d’Asilah serait véritablement pécher : des murailles construites par les Portugais au XVIe siècle, trois portes dont l’une s’ouvrant sur le port de pêche et l’océan, des ruelles d’une propreté irréprochable, des murs immaculés sauf certains entièrement peints façon street art, et des galeries d’art un peu partout. Comme tous les ports de la côte océane marocaine, l’histoire d’Asilah fut particulièrement mouvementée. D’abord aux mains des Portugais au XVIesiècle, elle fut reprise par les Espagnols au XVIIe, libérée par Moulay Ismaïl en 1691 et gouvernée au tournant du XXe siècle par le célèbre brigand Raissouli. Lequel ne doutait de rien, puisqu’entre deux rapines, trois meurtres et quelques enlèvements, dont celui du consul des États-Unis, le coquin se fit construire un palais au bout de la ville, derrière le rempart dominant la mer.

Il existe encore, ce palais. On peut même le visiter sur demande, voire le privatiser le temps d’un cocktail. Pour le reste, on se contentera de s’égarer dans les ruelles, de passer de galerie en galerie, d’apprécier dans certaines de l’excellente peinture, de profiter ici d’une jolie perspective et ailleurs d’une scène au romantisme fou, à l’image de ces deux jeunes filles croisées dans une ruelle, sublimes, minces, faisant voler au vent les plis de leurs abayas très “couture”. Car Asilah est chic, investie aujourd’hui par de très riches Marocains et Européens las de l’agitation de Marrakech et, plus sûrement encore, de celle de Tanger tout proche.

Tanger, alors. À 45 km seulement c’est un tout autre monde, voire une galaxie, aux antipodes de la petite station atlantique ; une atmosphère bien plus qu’une ville, même si la casbah entièrement rénovée plaît apparemment beaucoup à la bourgeoisie bohème internationale. Car il s’en est passé des choses, à Tanger. Des vertes et des pas mûres qui lui ont donné des lettres de noblesse passablement teintées de soufre. Entre les deux guerres, Tanger, c’était une “zone franche internationale”. Donc ni aux mains des Français, ni alliée des Espagnols, mais gouvernée par neuf grandes puissances et un sultan plus que compréhensif. Du coup, commerçants, diplomates et milliardaires s’installèrent à Tanger, entraînant à leur suite une foule interlope d’artistes, de trafiquants, de contrebandiers, d’exilés, de filles tarifées et de mauvais garçons. Le mythe Tanger, ville de toutes les permissivités, de tous les vices et de tous les excès, est né ainsi.

Les artistes tout d’abord. Des peintres comme Bacon dans le sillage de Delacroix ou Matisse, des cinéastes à l’instar de Pasolini et surtout des écrivains – Tanger est à l’évidence littéraire – dont la liste ne tiendrait pas sur les murs du grand amphithéâtre de la Sorbonne : Paul Morand, Jean Genet, Samuel Beckett, Roland Barthes et bien sûr la plupart des grands de la beat generation, les Tennessee Williams, William Burroughs, Allen Ginsberg et plus encore Paul Bowles, qui vécut à Tanger à partir la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu’à sa mort en 1999.

Les milliardaires, ensuite. Des princes et des princesses, mais surtout la célébrissime et extravagante Barbara Hutton et, un peu plus tard, le milliardaire américain Malcolm Forbes qui organisa en août 1989, et pour deux millions de dollars, la “fête du siècle” dans son Palais Mendoub avec 1 000 invités venus de partout dans le monde, au rang desquels Elizabeth Taylor et Henry Kissinger. Pour ce faire, le milliardaire, qui ne reculait devant rien, mit à la disposition de ses plus prestigieux invités son DC8 peint en or ainsi qu’un Boeing et un Concorde. C’était comme ça, Tanger, jusque tard avant la fin du siècle dernier ; des années 80 carabinées, des nuits magiques à n’en plus finir, des boîtes de nuit et des cabarets se faisant et défaisant au gré des modes et des passades.

On découvrira donc Tanger comme un livre d’heures dévergondé au fil tortueux de quelques lieux émaillant une casbah en grand blanc ; puis, dans son prolongement, la médina et ses souks populaires dégringolant de la colline jusqu’au port. C’est très vite fait, en à peine une demi-heure ; un peu plus en comptant les pauses. Des murailles d’ancienne forteresse, des escaliers, pas grand monde dans les ruelles, de hauts murs blancs abritant – qui en douterait – de somptueuses demeures, dont celle de la milliardaire en rupture de ban Barbara Hutton, et le Café Baba en bas d’une volée d’escaliers. Pourquoi ce café défraîchi où ne flotte pas qu’une odeur de tabac ? Parce que Keith Richards, entre autres rock stars, l’a beaucoup fréquenté…

TEAMCOACHING MAROC: Séminaire d'entreprise !

Le séminaire d’entreprise est un outil de management très utile à la bonne santé d’une compagnie. Cette prestation qui peut être de petite, moyenne ou très grande envergure est également très efficace pour les ressources humaines. Les chefs d’entreprise qui programment un voyage de groupe pour leurs employés allient travail et tourisme.

Organiser un séminaire thématique pour son travail d’entreprise

Un séminaire d’entreprise est l’occasion de renforcer la complicité des employés d’une société. Pour gagner du temps dans la préparation de l’événement, les compagnies peuvent faire appel à des agences événementielles disposées à organiser des séminaires thématiques. Selon les attentes des clients, ces spécialistes de l’organisation de séminaires d’entreprise pourront proposer différents thèmes d’événements comme l’œnologie et gastronomie. Au programme de cet événement culturel et gustatif, visite de cave, dégustation œnologique ou à l’aveugle, dîner en compagnie de Maître sommelier.

Cours de cuisine moléculaire et cours de cuisine classique font également partie des activités de séminaire d’entreprise tendance. Les sociétés peuvent aussi choisir le  tourisme industriel afin de découvrir par exemple les secrets d’une fabrication de voitures, la fabrication de chocolat… Golf, remise en forme, séance de parachutisme, voyage en hélicoptère, spéléologie, saut élastique, randonnée sont des exemples d’activités réalisables lors d’un séminaire incentive.

Séminaire d’entreprise : Où partir pour un voyage de groupe ?

Le séminaire d’entreprise qui privilégie le dépaysement peut se faire en choisissant la découverte de différentes villes balnéaires. Ces destinations privilégiées permettent aux employés d’une société de découvrir les vertus de la balnéothérapie. Modelage aux algues, bain revigorant dans une piscine d’eau de mer chauffée… ce voyage de groupe est l’occasion de se détendre dans un cadre chaleureux après une journée de travail éreintante.

L’organisation d’un séminaire entreprise met en avant le bien-être, le tourisme et les séances de travail peuvent se faire en Basse-Normandie. Cette région située non loin de Paris est une destination idéale pour l’organisation de réunions professionnelles, colloques, séminaires, congrès ou autre séjour incentive.

Des idées de destinations pour un voyage de groupe

Les séminaires d’entreprises qui ont comme objectif le voyage incentive peuvent se faire dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les participants au séminaire bénéficient d’un cadre exceptionnel surplombant la mer Méditerranée. Le séminaire d’entreprise entrepris dans cette région du sud-est de la France bénéficie d’un ensoleillement et d’une température clémente durant toute l’année. Les séminaires incentive organisés par les patrons pour leurs salariés peuvent également se faire sur la côte atlantique, à Agadir, Casablanca, Tanger, Essaouira…

Casablanca : une destination incontournable pour les voyageurs d'affaires !

Tanger, Fès, Marrakech : tout le monde connaît, tout le monde en rêve. Mais Casablanca ? Le nom de la plus grande ville du Maroc – 3,8 millions d’habitants – ne génère que peu de fantasmes, sinon, pour les cinéphiles avertis, celui du souvenir d’Ingrid Bergman et Humphrey Bogart s’embrassant au Rick’s Cafe. Bref, le fait semble établi : si les Français prennent un avion pour Casablanca, ce n’est pas pour des vacances mais pour faire des affaires. Beaucoup d’affaires : la France mobilise près de la moitié du commerce extérieur du Maroc avec l’Union européenne et a réalisé, à elle seule, près de 54 % des investissements étrangers faits au Maroc sur la période 1999-2003. Et c’est bien à Casablanca que sont implantées la plupart des 500 filiales françaises qui ont choisi le sol marocain.

Mais Casablanca ne se résume pas à un lieu de travail. À côté du développement du nouveau Technopark et de Sidi Marouf, la “Silicon Valley du Maroc” où sont implantés IBM, Microsoft et une grande partie des centres d’appels, Casablanca n’oublie pas pour autant le secteur des loisirs, avec une palette particulièrement étendue. Les voyageurs d’affaires ne sont donc pas condamnés à se terrer dans leur chambre d’hôtel à la sortie de leurs réunions, même s’ils ont déjà épuisé les solutions les plus courues : visite de la grande mosquée Hassan II, coup d’œil sur le patrimoine Art déco, shopping “artisanal” dans le quartier des Habbou. “Bien sûr, Casablanca a grandi avec le business, et on ne vient pas ici pour chercher du folklore comme dans les autres grandes destinations touristiques du Maroc”, constate Mathilde Delcroix, directeur technique de Team Travel Service, “mais Casablanca offre quelque chose de totalement différent : une véritable ambiance urbaine, plus authentique.”

 

De la rue à la plage, opération propreté

Authentique, mais pas forcément relâchée. Réorganisation des transports, illumination des bâtiments, programme de plantation d’un million d’arbres : la ville s’efforce de faire peau neuve. “Tout a changé ici depuis trois ans. Les visiteurs sont heureux de constater la propreté des rues. Même si les premiers bénéficiaires de ces opérations de nettoyage sont bien sûr les Casablancais eux-mêmes”, remarque Ibtissame Benchekroun, inspecteur divisionnaire de l’office national marocain du tourisme. La grande toilette s’est également étendue sur les plages de la ville, derrière la Corniche où les piscines privées aux noms évocateurs – Miami, Acapulco, Tropicana, Tahiti… – continuent de bénéficier des faveurs des plus nantis. “Ici, en août, c’est bondé en permanence, même si le tarif monte à 80 dirhams (7,3 euros) la journée”, note la caissière du Miami Plage, où touristes et locaux se mêlent sur la grève, autour des bassins et des bungalows.

Passé sept heures du soir, la Corniche devient le symbole de cette urbanité décontractée propre à Casablanca : on déambule entre pubs et piano-bars, on dîne en surplomb de l’océan au Petit Rocher ou à la Fibule, on va au spectacle ou au cinéma, dans le nouveau complexe du Mégarama ; on dort, aussi, dans des palaces comme le Riad Salam ou dans l’ambiance plus “hôtel des Flots bleus” des quatre et trois-étoiles qui jalonnent l’artère maritime.

Le golf, point de ralliement

Ceux qui n’apprécient pas cette ambiance de station balnéaire tellement connotée dolce vita Afrique du Nord, pourront toujours se rabattre sur le golf. Pas en grande banlieue mais en plein centre-ville, au Royal Golf Club d’Anfa situé dans le quartier très chic d’Aïn Diab où le vent des Mercedes et des Jaguar berce les palmiers. Un neuf trous créé, selon la légende, pour satisfaire les désirs golfiques de Churchill à l’occasion de la célèbre conférence d’Anfa (1943). La nécessité diplomatique a engendré un club select de 3800 membres, devenu point de ralliement central de la high society casablancaise, locaux et expatriés mélangés. “Bien sûr, ceux qui veulent un 18 trous ont toujours la possibilité de se diriger vers le Royal Golf Club de Mohammedia : c’est à 15 minutes d’ici seulement en voiture”, précise M. Belgrini, directeur du club. Mais les vrais esthètes abandonneront difficilement les charmes du green avec vue sur le minaret de la Grande Mosquée.

Incentive au Maroc !

Au Maroc, les médinas, c’est-à-dire les vieilles villes pour la plupart restées dans leurs traditions, font les plus beaux souvenirs des touristes d’affaires. Elles sont toutes un peu semblables, et pourtant elles ont toutes leur propre personnalité.

Ce verre de thé à la menthe aux bords embués par le liquide brûlant n’est pas un simple verre de thé à la menthe. C’est un symbole, tout un esprit ; l’éloge d’une lenteur orientale posée sur une table de bistrot de faïence bleue. On resterait comme ça des heures durant, à flotter dans une espèce de vide contemplatif. D’autant que les pergolas du Café Maure, à Rabat, surplombent à la fois l’embouchure du fleuve Bouregreg et l’océan Atlantique, lui donnant un très large champ de vision. Tout juste y a-t-il de l’autre côté du fleuve, presque comme une frontière, la ligne franche des maisons blanches de la ville de Salé, sœur jumelle de la tranquille capitale du Maroc, pour barrer un peu la vue.

C’est que le Café Maure, tout en terrasses et tonnelles, est une vraie institution à Rabat. On se doit de s’y poser à un moment ou à un autre, seul ou en groupe, le lieu pouvant même se privatiser. Le roi Hassan II ne l’a-t-il pas fait en son temps, y fêtant son anniversaire dans le faste ? Pour le manquer, ce café iconique, il faudrait vraiment le faire exprès. Car il est situé dans la casbah des Oudaïas, l’un des must de la découverte de la ville. C’est la partie la plus ancienne de Rabat, et sans aucun doute la plus charmante, si calme avec ses ruelles pentues, ses pavés malhabiles, ses murs blanchis à la chaux et peints à mi-hauteur de bleus éclatants, ses bouquets de bougainvilliers ou de lauriers roses en cascade ; parfois des poules et, surtout, partout des chats…

Le monde coloré des médinas

Des médinas et des casbahs, on en prendra tout son saoul lors de ce périple dans le nord-ouest du Maroc. Avec ou sans monument classé, elles sont l’âme du pays et, loin des shopping malls désincarnés des villes modernes, drainent un monde coloré œuvrant dans une organisation presque médiévale : quartiers découpés par corps de métiers, riches palais et humbles maisons contiguës, estaminets de quatre ou cinq tables, improbables échoppes vendant tout et n’importe quoi, épices à profusion et produits de la terre écoulés chaque jour à même le pavé par les paysans du coin. En fond sonore, de la musique orientale échappée de quelque CD probablement piraté, parfois un classique de Fairouz ou d’Oum Kalthoum, mais aussi du rock, de la techno ou bien encore du rap. C’est comme ça dans toutes les villes marocaines, chacune ayant son propre visage, presque sa spécialité, distillant dans tous les cas une atmosphère unique. Voyons.

En remontant sur Tanger, en longeant donc les plages infinies de l’Atlantique, manquer la ravissante et minuscule cité d’Asilah serait véritablement pécher : des murailles construites par les Portugais au XVIe siècle, trois portes dont l’une s’ouvrant sur le port de pêche et l’océan, des ruelles d’une propreté irréprochable, des murs immaculés sauf certains entièrement peints façon street art, et des galeries d’art un peu partout. Comme tous les ports de la côte océane marocaine, l’histoire d’Asilah fut particulièrement mouvementée. D’abord aux mains des Portugais au XVIesiècle, elle fut reprise par les Espagnols au XVIIe, libérée par Moulay Ismaïl en 1691 et gouvernée au tournant du XXe siècle par le célèbre brigand Raissouli. Lequel ne doutait de rien, puisqu’entre deux rapines, trois meurtres et quelques enlèvements, dont celui du consul des États-Unis, le coquin se fit construire un palais au bout de la ville, derrière le rempart dominant la mer.

Il existe encore, ce palais. On peut même le visiter sur demande, voire le privatiser le temps d’un cocktail. Pour le reste, on se contentera de s’égarer dans les ruelles, de passer de galerie en galerie, d’apprécier dans certaines de l’excellente peinture, de profiter ici d’une jolie perspective et ailleurs d’une scène au romantisme fou, à l’image de ces deux jeunes filles croisées dans une ruelle, sublimes, minces, faisant voler au vent les plis de leurs abayas très “couture”. Car Asilah est chic, investie aujourd’hui par de très riches Marocains et Européens las de l’agitation de Marrakech et, plus sûrement encore, de celle de Tanger tout proche.

Tanger, alors. À 45 km seulement c’est un tout autre monde, voire une galaxie, aux antipodes de la petite station atlantique ; une atmosphère bien plus qu’une ville, même si la casbah entièrement rénovée plaît apparemment beaucoup à la bourgeoisie bohème internationale. Car il s’en est passé des choses, à Tanger. Des vertes et des pas mûres qui lui ont donné des lettres de noblesse passablement teintées de soufre. Entre les deux guerres, Tanger, c’était une “zone franche internationale”. Donc ni aux mains des Français, ni alliée des Espagnols, mais gouvernée par neuf grandes puissances et un sultan plus que compréhensif. Du coup, commerçants, diplomates et milliardaires s’installèrent à Tanger, entraînant à leur suite une foule interlope d’artistes, de trafiquants, de contrebandiers, d’exilés, de filles tarifées et de mauvais garçons. Le mythe Tanger, ville de toutes les permissivités, de tous les vices et de tous les excès, est né ainsi.

Les artistes tout d’abord. Des peintres comme Bacon dans le sillage de Delacroix ou Matisse, des cinéastes à l’instar de Pasolini et surtout des écrivains – Tanger est à l’évidence littéraire – dont la liste ne tiendrait pas sur les murs du grand amphithéâtre de la Sorbonne : Paul Morand, Jean Genet, Samuel Beckett, Roland Barthes et bien sûr la plupart des grands de la beat generation, les Tennessee Williams, William Burroughs, Allen Ginsberg et plus encore Paul Bowles, qui vécut à Tanger à partir la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu’à sa mort en 1999.

Les milliardaires, ensuite. Des princes et des princesses, mais surtout la célébrissime et extravagante Barbara Hutton et, un peu plus tard, le milliardaire américain Malcolm Forbes qui organisa en août 1989, et pour deux millions de dollars, la “fête du siècle” dans son Palais Mendoub avec 1 000 invités venus de partout dans le monde, au rang desquels Elizabeth Taylor et Henry Kissinger. Pour ce faire, le milliardaire, qui ne reculait devant rien, mit à la disposition de ses plus prestigieux invités son DC8 peint en or ainsi qu’un Boeing et un Concorde. C’était comme ça, Tanger, jusque tard avant la fin du siècle dernier ; des années 80 carabinées, des nuits magiques à n’en plus finir, des boîtes de nuit et des cabarets se faisant et défaisant au gré des modes et des passades.

On découvrira donc Tanger comme un livre d’heures dévergondé au fil tortueux de quelques lieux émaillant une casbah en grand blanc ; puis, dans son prolongement, la médina et ses souks populaires dégringolant de la colline jusqu’au port. C’est très vite fait, en à peine une demi-heure ; un peu plus en comptant les pauses. Des murailles d’ancienne forteresse, des escaliers, pas grand monde dans les ruelles, de hauts murs blancs abritant – qui en douterait – de somptueuses demeures, dont celle de la milliardaire en rupture de ban Barbara Hutton, et le Café Baba en bas d’une volée d’escaliers. Pourquoi ce café défraîchi où ne flotte pas qu’une odeur de tabac ? Parce que Keith Richards, entre autres rock stars, l’a beaucoup fréquenté…

TEAMCOACHING MAROC: Séminaire d'entreprise !

Le séminaire d’entreprise est un outil de management très utile à la bonne santé d’une compagnie. Cette prestation qui peut être de petite, moyenne ou très grande envergure est également très efficace pour les ressources humaines. Les chefs d’entreprise qui programment un voyage de groupe pour leurs employés allient travail et tourisme.

Organiser un séminaire thématique pour son travail d’entreprise

Un séminaire d’entreprise est l’occasion de renforcer la complicité des employés d’une société. Pour gagner du temps dans la préparation de l’événement, les compagnies peuvent faire appel à des agences événementielles disposées à organiser des séminaires thématiques. Selon les attentes des clients, ces spécialistes de l’organisation de séminaires d’entreprise pourront proposer différents thèmes d’événements comme l’œnologie et gastronomie. Au programme de cet événement culturel et gustatif, visite de cave, dégustation œnologique ou à l’aveugle, dîner en compagnie de Maître sommelier.

Cours de cuisine moléculaire et cours de cuisine classique font également partie des activités de séminaire d’entreprise tendance. Les sociétés peuvent aussi choisir le  tourisme industriel afin de découvrir par exemple les secrets d’une fabrication de voitures, la fabrication de chocolat… Golf, remise en forme, séance de parachutisme, voyage en hélicoptère, spéléologie, saut élastique, randonnée sont des exemples d’activités réalisables lors d’un séminaire incentive.

Séminaire d’entreprise : Où partir pour un voyage de groupe ?

Le séminaire d’entreprise qui privilégie le dépaysement peut se faire en choisissant la découverte de différentes villes balnéaires. Ces destinations privilégiées permettent aux employés d’une société de découvrir les vertus de la balnéothérapie. Modelage aux algues, bain revigorant dans une piscine d’eau de mer chauffée… ce voyage de groupe est l’occasion de se détendre dans un cadre chaleureux après une journée de travail éreintante.

L’organisation d’un séminaire entreprise met en avant le bien-être, le tourisme et les séances de travail peuvent se faire en Basse-Normandie. Cette région située non loin de Paris est une destination idéale pour l’organisation de réunions professionnelles, colloques, séminaires, congrès ou autre séjour incentive.

Des idées de destinations pour un voyage de groupe

Les séminaires d’entreprises qui ont comme objectif le voyage incentive peuvent se faire dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les participants au séminaire bénéficient d’un cadre exceptionnel surplombant la mer Méditerranée. Le séminaire d’entreprise entrepris dans cette région du sud-est de la France bénéficie d’un ensoleillement et d’une température clémente durant toute l’année. Les séminaires incentive organisés par les patrons pour leurs salariés peuvent également se faire sur la côte atlantique, à Agadir, Casablanca, Tanger, Essaouira…

5 étapes pour réussir un coaching d'équipe !

Un client vous sollicite pour intervenir auprès d’une équipe qui dysfonctionne ou qui rencontre des problèmes importants. Il vous demande un accompagnement, une supervision, un coaching d’équipe, une formation « sur mesure »... De quelle façon allez-vous aborder une telle demande ? Quelles questions allez-vous lui poser ? Quels sont les principaux enjeux que vous devrez prendre en considération ? Quels sont les pièges à éviter ? Et quelles stratégies d’intervention allez-vous pouvoir élaborer et mettre en œuvre ?

Règle n° 1 : S’intéresser aux interactions

Dans de nombreuses approches « classiques » du coaching d’équipe, l’intervenant s’intéresse en priorité aux « compétences », aux « préférences », aux « rôles », aux « caractéristiques psychologiques » de chacun des membres de l’équipe, pris séparément, pour en déduire des conclusions portant sur le fonctionnement de l’ensemble de l’équipe. Pour notre part, nous considérons que, pour comprendre la dynamique à l’œuvre au sein d’une équipe, l’attention de l’intervenant doit plutôt être focalisée sur la façon dont les différents membres de l’équipe interagissent les uns avec les autres, c’est à dire sur la façon dont leurs relations se structurent dans le processus. Cette façon de percevoir et de comprendre les situations problématiques, que nous qualifions de « regard interactionnel » ou de « paradigme systémique », permet de décrire les systèmes humains complexes non pas comme des objets statiques, aux caractéristiques fixes, mais comme des organismes adaptatifs en perpétuel mouvement, dont les différents membres ne sont pas considérés comme isolés les uns des autres, mais toujours dans une évolution relationnelle dynamique. Si des problèmes relationnels existent au sein de l’équipe, il nous semble par exemple souvent utile de comprendre dans quelle mesure ces problèmes se structurent de façon complémentaire ou de façon symétrique.

Un bel exemple de problématique d’équipe complémentaire est celle dans laquelle les membres de l’équipe ne cessent de solliciter l’aide de leur supérieur, et où celui-ci intervient pour résoudre leurs problèmes à leur place, ce qui les amène progressivement à prendre de moins en moins d’initiatives, etc. Le responsable se plaint d’être face à une équipe de collaborateurs passifs, immatures et irresponsables, alors que l’équipe se plaint que le responsable est sans cesse en train d’intervenir, ne leur laissant pas la place pour prendre la moindre initiative. « S’ils faisaient correctement leur travail, je n’aurais pas à intervenir en permanence », dit l’un. « Nous n’avons pas l’opportunité de prendre d’initiatives, car il intervient sans cesse », disent les autres… L’activisme de l’un alimente la passivité des autres, et inversement, dans ce que nous appelons un équilibre dysfonctionnel fondé sur une complémentarité rigide. On peut aussi parfois observer des dynamiques complémentaires rigides « inversées », dans lesquelles, par exemple, plus l’équipe met en cause le responsable et plus il essaie en vain de se justifier et de s’adapter aux attentes de ses collaborateurs, mais sans jamais parvenir à les satisfaire…

Les problèmes relationnels au sein d’une équipe se structurent aussi parfois selon des dynamiques que nous qualifions d’escalades symétriques. Ce sont des situations qui prennent par exemple la forme de luttes de pouvoir entre différents membres d’une équipe. Dans tel projet industriel, par exemple, le directeur de site essaie d’imposer un style de gestion très réactif et peu structuré, alors que son collaborateur direct, le chef de projet, essaie d’imposer une méthodologie de gestion de projet plus rigoureuse et reposant davantage sur l’anticipation. Au-delà du bien fondé de telle ou telle approche, ce qui émerge au niveau de l’interaction est un conflit de plus en plus ouvert entre les deux professionnels, l’un et l’autre accusant son collègue de « ne pas savoir gérer un projet », de faire preuve d’incompétence et de ne pas être « à sa place ». Là encore, plus le professionnel se sent mis en cause par son collègue, plus il risque de mettre en place des stratégies pour se défendre… en mettant en cause son collègue, et ainsi de suite dans ce que nous appellerons un équilibre dysfonctionnel fondé sur une escalade symétrique.

Il faut ajouter à cela que dans le cadre de problématiques d’équipe, les interactions symétriques ou complémentaires entre deux personnes ou deux groupes de personnes auront souvent lieu devant un « public », par exemple si les interactions ont lieu lors de réunions, ou que d’autres collègues sont mis en copie d’un échange d’emails. Bien souvent, les problématiques relationnelles symétriques seront amplifiés si elles se déroulent face à d’autres collègues, car chacun des deux protagonistes voudra d’autant plus garder la face qu’il se sentira observé par le collectif. De même, dans un fonctionnement très complémentaire, si un cadre dirigeant ne supporte par exemple absolument pas d’être remis en question sur quoi que ce soit par ses collaborateurs, le contexte collectif a toutes les chances de rigidifier encore davantage sa position. Les membres de l’équipe peuvent également être impliqués dans une escalade symétrique entre collègues, par exemple si lors d’un conflit entre deux personnes l’un ou l’autre des protagonistes passe ses journées à se plaindre du comportement de l’autre, prenant ainsi « en otage » les autres membres de l’équipe. S’ils rentrent dans le jeu des discussions interminables sur le sujet, ils risquent alors fort d’alimenter encore les plaintes de leur collègue sans pour autant l’aider à se donner les moyens de résoudre le problème avec la personne concernée. Pour illustrer les différents niveaux d’interaction à prendre en considération, et notamment la question d’éventuelles alliances au sein de l’équipe, on donnera l’exemple d’une situation très complémentaire dans laquelle les membres d’une équipe avaient pris l’habitude d’accepter des demandes « excessives » de la part de leur responsable au point d’en arriver à un niveau d’épuisement important, et où la solidarité au sein de l’équipe renforçait encore le problème : « Si je n’accepte pas cette nouvelle demande que me fait ma responsable, elle va très certainement le demander à mes collègues, et c’est elles qui devront en supporter les conséquences… »

Une lecture fine de ces différents processus relationnels donnera des pistes à l’intervenant pour rétablir davantage de symétrie dans les situations complémentaires rigides, et plus de complémentarité dans les situations d’escalade symétrique, tout en prenant en compte les éventuels enjeux de face liés à la présence d’un public.

Règle n° 2 : Se ménager de la marge de manœuvre

Dans le cadre de la relation entre un intervenant (interne ou externe) et son commanditaire, se pose la question de la marge de manœuvre que l’intervenant a pris le soin, ou non, de se ménager pour réaliser la mission qui lui est confiée. Quelle approche, quelle méthode compte-t-il utiliser ? Qui va-t-il rencontrer ? A quel moment ? Et le fera-t-il en présence du commanditaire, ou sans lui ? Nous avons pu, par expérience, corréler le niveau d’efficience de nos interventions collectives avec le degré de marge de manœuvre que nous avions pu, ou non, négocier avec nos commanditaires dès les premiers moments du processus. Un piège classique pour l’intervenant consiste en effet à accepter de la part de son client une obligation de fins et de moyens, c’est à dire à permettre à son mandataire d’exercer un contrôle extrêmement strict sur toutes les modalités de son intervention. Le mandataire pourra, par exemple, demander à fixer à l’avance toutes les étapes du processus de changement, décider unilatéralement qui l’intervenant aura le droit, ou non, de rencontrer dans le cadre de son intervention, réclamer des rapports détaillés et circonstanciés de chaque séance de travail, ou encore vouloir valider un descriptif verbatim de tout ce qui sera abordé lors des séances avec les membres des équipes concernées. Autant de contraintes qui, si elles se multiplient à l’excès, risquent de limiter sérieusement la marge de manœuvre et la souplesse adaptative de l’intervenant, et par conséquent son efficacité.

Une des manières de se ménager les bonnes conditions pour intervenir consiste à ne pas devenir plus « demandeur » de l’intervention que ne l’est le commanditaire. L’intervenant pourra, par exemple, communiquer de la façon suivante : « Il est important que vous choisissiez la bonne personne pour cette intervention, et que vous puissiez avoir une idée claire de sa façon d’aborder ce type de mandats. Je pense même qu’il serait utile que vous puissiez rencontrer plusieurs intervenants différents, pour vous faire une bonne idée du style de chacun et des différentes approches possibles. En ce qui me concerne, une chose très importante pour que je puisse intervenir dans les meilleures conditions, c’est qu’au cours du processus d’accompagnement, je puisse décider qui je vais rencontrer, quand et dans quelles conditions (en grand groupe, en petit groupe ou en individuel). Si vous pensez que cela ne sera pas possible, alors le mieux est probablement que vous travailliez avec quelqu’un d’autre. » Il est essentiel que l’intervenant comprenne bien ce que son commanditaire attend de lui : qu’il sache l’amener à clarifier l’objectif qu’il cherche à atteindre ou à définir problème qu’il cherche à résoudre par cette intervention, mais aussi qu’il garde le maximum d’autonomie concernant la façon dont il va s’y prendre pour remplir sa mission.

Si la situation idéale pour l’intervenant est de s’assurer une grande liberté d’action dès les premiers moments de l’intervention, dans la pratique, il est bien souvent nécessaire de renégocier le cadre de l’intervention en cours de route pour pouvoir réorienter la stratégie en fonction du potentiel de la situation à un moment donné. Il arrive, par exemple, qu’un intervenant accepte pour des raisons économiques ou tactiques, de donner une formation ou d’animer un atelier selon un format prédéfini pour satisfaire la demande d’un commanditaire sans trop se/lui poser de questions. Cette approche permet de mettre un « pied dans la porte » chez un client prometteur, mais elle n’est pas sans dangers, car elle risque de mettre l’intervenant dans une situation d’échec si les attentes de son commanditaire ne sont pas réalistes par rapport aux moyens d’action dont l’intervenant dispose pour atteindre les objectifs qui lui sont assignés. Tout dépend alors du type de relation qui s’établit entre le commanditaire et l’intervenant, mais aussi de la capacité de ce dernier à s’autoriser à renégocier le cadre lorsque le besoin s’en fait sentir.

Si ces redéfinitions du cadre ne sont pas toujours faciles à introduire, elles font néanmoins partie des outils les plus stratégiques dont dispose l’intervenant pour jouer son rôle de facilitateur de changement.

Règle n° 3 : Identifier une éventuelle contrainte et savoir l’utiliser

Il est également essentiel de prendre en compte la relation qu’entretiennent les personnes devant participer au processus de l’intervention avec le commanditaire de cette intervention. Les participants se sont-ils portés volontaires pour ce coaching ou s’agit-il d’une démarche qui leur est imposée par leur direction ? Règne-t-il un climat de confiance ou de méfiance entre les participants et le mandataire ? A tout intervenant expérimenté, il est arrivé au moins une fois dans sa vie professionnelle de se retrouver face à des participants qui avaient le sentiment de devoir subir la formation qu’il leur dispensait comme un diktat venant de leur hiérarchie. En d’autres termes, les participants sont-ils là de leur plein gré, ou sont-ils sous contrainte ? Bien entendu, cela aura un impact important sur la dynamique qui émergera lors l’intervention, et on ne saurait donc trop insister sur l’importance de cette dimension relationnelle. Cette question est en outre à mettre en lien avec les points soulevés dans le point précédent : l’intervenant a-t-il pris le temps de vérifier ces informations auprès du mandataire ? A-t-il eu la possibilité de discuter individuellement avec certains participants avant de les rencontrer collectivement ? Et, s’il s’agit d’un contexte « sous contrainte », quelle marge de manœuvre s’est-il donné au cas où certains participants s’avéraient par trop réfractaires à entrer dans ce qui leur était proposé ?

Dans notre expérience, l’intervenant peut considérer a priori que dans la grande majorité des situations d’intervention auprès d’une équipe au sein d’une organisation, il existe une dimension de contrainte, que celle-ci soit implicite ou explicite. Dans le monde des organisations, il est en effet difficile de refuser une proposition d’accompagnement visant à améliorer une performance ou à résoudre un problème… On distinguera plusieurs cas de figure « classiques » impliquant une situation de contrainte : dans le premier cas de figure, le mandataire est aussi le contraignant, et c’est lui qui impose aux membres de l’équipe une intervention pour faire évoluer une situation qui lui pose problème. Dans ce cas, il sera important non seulement de clarifier ses attentes, et les conséquences envisagées en cas de non changement, mais aussi de s’assurer de sa collaboration au cours du processus de changement. On aura intérêt à expliciter cette contrainte auprès des participants, ou, encore mieux, à lui demander de le faire lui-même.

Dans d’autres situations, le mandataire est lui-même sous la contrainte d’une instance hiérarchique plus élevée, ce qui pose un certain nombre de questions épineuses, la principale étant : dans quelle mesure souhaite-t-il vraiment voir la situation évoluer, ou, a contrario, dans quelle mesure ne risque-t-il pas de faire en sorte de « neutraliser » une tentative de changement qui ne vient pas de lui ?

Dans le cas d’un mandataire « sous contrainte », il sera pour nous essentiel de faire notre possible pour pouvoir rencontrer l’instance contraignante et de clarifier avec elle ce qu’elle attend de l’intervention. On pourra également parfois faire une offre de services au mandataire pour l’aider à trouver les meilleures pistes stratégiques pour faire lever cette contrainte.

Règle n° 4 : Bien comprendre le fonctionnement de la problématique

Au-delà des questions de marge de manœuvre et de l’identification d’une éventuelle contrainte, l’intervenant devra s’attacher à bien comprendre ce qui est à l’œuvre dans l’équilibre problématique du système qu’il cherche à influencer. En ne prenant pas le temps de « problématiser » suffisamment la demande de son client, l’intervenant prend de nombreux risques, le principal étant de proposer une intervention qui serait, au mieux inutile, au pire aggravante. D’un point de vue stratégique, une des questions les plus importantes que l’intervenant pourra se poser est la suivante : « Dans quelle mesure, est-ce que ce que me demande mon client n’est pas une façon de perpétuer les tentatives de solution inefficaces qui ont déjà été mises en œuvre jusqu’à maintenant pour essayer de résoudre le problème de cette équipe ? En d’autres termes, l’intervention envisagée est-elle susceptible de faire une réelle différence, ou risque-elle plutôt d’entrainer un renforcement des problèmes ? » Comment répondre à cette question de manière sûre ? Eh bien, c’est en prenant le temps de bien comprendre avec le commanditaire ce qui a déjà été tenté jusqu’ici pour résoudre le problème, en se posant la question de savoir si l’intervention envisagée serait juste « davantage de la même chose », ou apporterait quelque chose de qualitativement différent. Pour illustrer notre propos, nous allons présenter les trois grands types d’équilibres dysfonctionnels « classiques » impliquant un collectif, en nous inspirant du travail de Wittezaele et Nardone, permettant de dégager ce que nous appellerons un « diagnostic opératoire systémique et stratégique ».

Logique d’évitement

Lorsqu’un responsable hiérarchique est confronté à une difficulté au sein de son équipe, il peut lui arriver de réagir selon une logique que nous qualifierons de « logique d’évitement ». Le responsable pourra, par exemple, tolérer certains comportements problématiques chez ses collaborateurs sans réagir, faisant comme s’il ne les remarquait pas, ou encore commencer à éviter physiquement certains collaborateurs s’il craint qu’une rencontre ou une discussion avec eux ne se passe mal. Dans d’autres cas l’évitement pourra prendre la forme de promesses faites à l’équipe, qu’il sait pertinemment qu’il ne pourra pas tenir, ou encore, parfois, l’accession à des demandes toujours plus exigeantes de la part des membres de l’équipe pour les satisfaire, au point où son autorité finira par être totalement discréditée. On le voit, les stratégies d’évitement possibles sont nombreuses et peuvent prendre différentes formes, mais elles reposent toutes sur le même principe : si, dans un premier temps, le mouvement de retrait « soulage » le responsable, car il n’a pas à faire face à ce qu’il redoute (conflit, déception…), la conséquence à moyen ou long terme est bien souvent une aggravation de la situation problématique – sauf bien entendu dans les cas, malheureusement assez rares, où le problème se règle de lui-même… Il peut aussi parfois être stratégique pour le responsable d’attendre sans intervenir, par exemple si le potentiel de la situation n’est pas favorable, ou si l’on sait qu’un remaniement ou un départ est imminent et que l’on préfère dès lors laisser certains problèmes épineux à régler à son successeur…

Un scénario relativement classique des stratégies d’évitement impliquant un coaching d’équipe est celui dans lequel un responsable d’équipe mandate l’intervenant pour régler à sa place certains problèmes qu’il n’ose pas affronter lui-même. Afin d’éviter de se confronter à la situation, il est plus commode pour lui de demander à un tiers de faire le travail ingrat à sa place. Cette stratégie comporte de nombreux dangers : le premier étant que si l’intervenant parvient à résoudre lui-même le problème, il risque fort, par contraste, d’attirer l’attention sur l’incompétence managériale de son client. En outre, une fois l’intervention terminée, le mandataire se retrouvera avec ses collaborateurs, et ils n’auront pas nécessairement pu faire ensemble l’apprentissage d’une nouvelle modalité relationnelle, ce qui rend le risque de « rechute » très important. En acceptant de se substituer, même temporairement, au management en place, l’intervenant a donc toutes les chances de contribuer à fragiliser davantage ce dernier. L’autre risque encouru est que l’intervenant externe entreprenne une démarche d’affrontement des problèmes mais qu’en dernier ressort, son mandataire s’avère réticent au moment où il lui faudrait apporter son soutien décisif au processus de changement, réduisant ainsi les efforts de l’intervenant à néant.

Les collaborateurs peuvent eux-aussi utiliser l’intervenant pour perpétuer un processus d’évitement dans lequel ils passent leur temps à se plaindre entre eux, sans jamais oser affronter leur hiérarchie directement, par peur d’éventuelles conséquences. Là aussi, certains solliciteront alors l’intervenant pour qu’il aille dire à leur place au management que c’est à lui de changer.

On peut aussi trouver des stratégies d’évitement entre les membres d’une même équipe, ou entre divers départements. Dans ces situations, on devra être surtout très attentif à toutes les interventions d’aide qui pourraient avoir pour effet de continuer à rendre cet évitement possible.

Il arrive aussi parfois que le mandataire oriente l’intervenant dans une direction qui lui permet de continuer à éviter d’affronter le problème. C’est ce qu’a par exemple vécu cette coach que le chef de service d’une collectivité avait mandatée pour intervenir auprès d’une de ses équipes au sein de laquelle de nombreux problèmes relationnels étaient à déplorer depuis plusieurs mois… et qui, au cours des entretiens préparatoires, se rendit compte que le responsable de cette équipe avait pour projet avoué de se débarrasser de tous les collaborateurs actuels. Le chef de service n’osant pas affronter le responsable d’équipe, personnage au caractère fort, nouvellement arrivé au sein du département, il avait imaginé une intervention auprès des collaborateurs n’impliquant pas ce dernier…

S’il perçoit qu’il est en train d’être instrumentalisé par les uns ou les autres et que son intervention risque fort de leur permettre de continuer à éviter de se confronter à ce qu’ils doivent affronter pour résoudre les problèmes, l’intervenant devra faire lui-même preuve de courage, en mettant délicatement ses clients face à leurs responsabilités, tout en leur proposant son soutien.

Logique de contrôle

Lorsqu’une équipe va mal, le responsable est bien souvent amené à réagir en essayant de reprendre le contrôle sur la situation. Il va organiser des réunions, discuter avec les personnes concernées, prendre des mesures disciplinaires si nécessaire pour essayer de corriger les écarts, rappeler les objectifs ou en fixer de nouveaux avec l’équipe, établir des indicateurs de performance spécifiques, demander un reporting plus régulier, essayer de faire comprendre à l’équipe qu’il faut qu’elle change, que les choses ne peuvent pas continuer comme ça... Et parfois, malgré toute la bonne volonté et tous les efforts du monde, les choses ne s’améliorent pas…

Dans des cas de ce type, l’intervenant pourra être appelé comme énième tentative pour essayer de convaincre le collectif du bienfondé de certains changements : « Il faut qu’ils comprennent qu’ils doivent changer ! Il est important de leur faire prendre conscience de l’urgence du changement ! Cette équipe doit commencer à se remettre en question et arrêter de toujours rejeter la faute sur l’extérieur ! » On lui demandera alors de les convaincre, de trouver les bons arguments, les bons jeux de rôle, les bons exercices en plein air, de leur expliquer les avantages qu’il y a à changer, en utilisant, pourquoi pas aussi, des histoires, de belles métaphores, une citation taoïste et nombre d’exemples illustratifs tirés des « best practices »… Autant de tentatives qui, très vraisemblablement, susciteront une vive résistance de la part des collaborateurs à qui on essaie d’imposer un certain formatage idéologique et une direction unique. La résistance sera souvent proportionnelle à la pression exercée, et si toutes les tentatives précédentes pour les faire « bouger » ont été un échec, il est fort à parier que si l’intervenant continue dans cette voie, il suscitera la même résistance.

Dans la même veine, si la relation entre le mandant et ses collaborateurs est déjà excessivement « complémentaire », à savoir une direction faisant des demandes « excessives », et des collaborateurs acceptant cela à contrecœur, l’intervenant devra prendre garde lui-même de ne pas accepter les demandes inacceptables de la part de son client. En le faisant, il deviendrait alors probablement complice d’un processus d’aggravation de la situation.

Logique de validation de croyances

Le responsable d’équipe confronté à une situation difficile va parfois aussi essayer de comprendre la « cause du problème », et, dans certains cas, par extension, essayer d’identifier le ou les coupables, celles ou ceux qui créent les problèmes, afin de pouvoir soit les remettre « dans le rang », soit leur faire quitter l’équipe. Notre propos n’est pas de nier le fait qu’une seule personne peut parfois significativement nuire par ses comportements au bon fonctionnement de toute une équipe, et que dans certains cas, un remaniement est nécessaire pour permettre un changement durable. Mais il arrive que cette façon de chercher un coupable agisse comme une prophétie auto-réalisatrice destructrice pour l’équipe. On citera l’exemple de ce responsable qui, à l’occasion d’une réunion d’équipe, déclare à ses collaborateurs : « Dans cette équipe de direction, certains ne méritent pas du tout leur place ! » Déclaration bien entendu susceptible de créer un contexte fort anxiogène pour les membres de l’équipe, et d’induire une ambiance de suspicion et des attitudes défensives chez les collaborateurs qui se sentent visés par l’accusation de leur chef, le confortant dans son hypothèse qu’ils n’étaient pas fiables.

Et il arrive bien souvent que dans ce type de contexte, un intervenant extérieur soit appelé pour établir un diagnostic de la situation de l’équipe. L’un des pièges fréquents de ce type de demandes est une attente explicite ou implicite d’identifier les bons et les mauvais éléments de l’équipe, (les « hauts potentiels » et les « brebis galeuses »). En faisant passer divers tests aux membres de l’équipe, certains praticiens peuvent être amenés à fournir au mandataire des conclusions diagnostiques qui risquent fort de renforcer le processus de prophéties auto-réalisatrices décrit plus haut. Une consultante avait ainsi partagé le profil psychologique d’un collaborateur avec le chef d’équipe. Ce profil faisait ressortir que le collaborateur en question était quelqu’un de manipulateur… Une fois le diagnostic posé, toutes les initiatives du collaborateur, même celles qui allaient dans le sens désiré, furent interprétées par son supérieur hiérarchique comme des tentatives de le manipuler, ce qui contribua à dégrader encore plus leur relation. On le voit, ces outils de diagnostic individuel ne prennent pas en compte la dimension systémique des dynamiques relationnelles à l’œuvre dans un collectif, et elles ont par conséquent de fortes chances de rigidifier les positions de chacun plutôt que d’aider à comprendre ce qui sous-tend les problèmes et à permettre de les résoudre. En outre, de telles démarches risquent parfois d’alimenter l’évitement du management (ce n’est pas moi qui dis que cet employé ne convient pas au poste, c’est le rapport du consultant) ou sa tendance à un contrôle excessif (j’ai maintenant en main un rapport détaillé qui me permet de comprendre le fonctionnement psychologique de chacun de mes collaborateurs). De plus, si les conclusions du rapport diagnostic ne conviennent pas aux collaborateurs, on pourra s’attendre à ce qu’ils réagissent très vivement aux conclusions proposées par l’expert. Là-aussi le jeu des prophéties auto-réalisatrices peut fonctionner à plein régime. Ainsi, un consultant qui essayait vainement de convaincre un cadre dirigeant que son analyse psychologique montrait qu’il avait très peu conscience de ses propres forces et faiblesse, interprétait le déni de son client comme une preuve additionnelle que le diagnostic psychologique émanant du test était juste... Inversement, les conclusions du rapport pourront parfois être utilisées par les collaborateurs pour justifier le fait de ne pas changer leur comportement : « Je suis comme ça, je n’y peux rien. C’est ma personnalité, comme le dit le rapport, on ne me changera pas... »

Attention donc aux outils d’analyse individuels, qui risquent bien souvent d’amener les personnes à camper sur leurs positions plutôt que de favoriser le changement.

Règle n° 5 : S’appuyer sur le potentiel de la situation

Les interventions stratégiques s’appuieront directement sur la structure du problème pour provoquer changement. Si l’on observe un processus d’évitement dysfonctionnel, on amènera les personnes à progressivement affronter ce qu’elles évitent de faire. Bien entendu, dans ces situations d’évitement, la tentation en tant qu’intervenant peut être très forte de mettre en place des stratégies de « compensation » qui n’aideront pas au changement. Ainsi, par exemple, cette équipe au sein de laquelle on reproche aux personnes de ne jamais prendre d’initiative… au moment d’un atelier de groupe, faudra-t-il que l’intervenant se lève et commence à prendre les notes au tableau, ou sera-t-il plus stratégique de rester assis et d’attendre que quelqu’un se porte volontaire ? Ou si un collaborateur essaie d’utiliser l’intervenant pour perpétuer un évitement relationnel avec son supérieur : « il faut que vous disiez à mon chef qu’il est trop ceci ou trop cela… », l’intervenant pourra lui répondre : « j’imagine que si vous ne le lui dites pas vous-même directement, c’est que vous avez de très bonnes raisons. Que pourrait-il se passer de pire si vous le faisiez ? »

Imaginons une logique de contrôle inefficace, par exemple un nouveau chef de service qui a reçu pour mission de changer la culture de son département, qui se heurte à une forte résistance de la part de ses collaborateurs, et qui vous demande de l’aider à trouver de nouveaux arguments pour les convaincre de l’importance du changement : plutôt que d’entrer directement dans sa demande, on pourra l’inviter à communiquer à l’équipe de la façon suivante : « La culture de cette organisation est en train de changer, et je sais que certains s’en réjouissent alors que d’autres voient ça d’un très mauvais œil. Et c’est tout à fait normal : lorsqu’un changement de ce type se produit dans une organisation, cela ne convient pas à tout le monde, et certaines personnes sont souvent amenées à partir avec le temps… » On voit qu’on a remplacé l’injonction « vous devez changer » par une autre « vous n’êtes pas obligés de changer… », ce qui a toutes les chances d’apaiser la dynamique relationnelle tendue entre le supérieur et son équipe, tout en envoyant un message clair sur les conséquences probables d’un non changement. Une alternative consisterait à inviter le responsable d’équipe à encourager ses collègues à lui faire part de toutes leurs critiques, en leur disant qu’en faisant cela, ils l’aident à améliorer le processus de changement (stratégie classique d’utilisation de la résistance…).

Dans une situation où l’équipe essaie d’instrumentaliser l’intervenant pour se débarrasser de son supérieur hiérarchique (cas d’espèce de tentative de contrôle plus fréquent qu’on ne pourrait le croire…), l’intervenant pourra par exemple inviter l’équipe à réfléchir à la question suivante : « Et si vous étiez certains que ce chef ne va ni partir ni changer au cours des prochaines années, que feriez-vous ? » Cette technique, dite du « comme-si paradoxal » permet de refocaliser les membres de l’équipe sur leur responsabilité dans le système et sur ce qui est effectivement « sous leur contrôle ». Dans les cas de ce type, on devra éviter les séances collectives de « déballage » des problèmes, en particulier lorsque les participants ont accumulé une grande frustration à l’égard de leur management, ou que les relations entre eux sont fort dégradées…

Les fonctionnements fondés sur une logique de « validation de croyance » sont particulièrement délicats à appréhender dans un cadre collectif. En effet, si une personne est convaincue que tous les membres de son équipe sont ligués contre elle, il sera probablement impossible, voire contre-productif d’aborder cette question avec elle en présence de ses « ennemis ». En effet, il sera alors quasi-impossible pour l’intervenant de « rejoindre » la personne dans sa vision de la situation en présence des autres, qui auront très probablement une perception des choses très différente. On risque en effet d’assister à une lutte stérile de visions du monde. Un travail d’accompagnement individuel sera alors le plus souvent nécessaire pour permettre à la personne de « déconstruire » progressivement ses perceptions en l’aidant à trouver des modalités d’interaction plus fonctionnelles avec ses collègues. Ainsi cette collaboratrice persuadée d’évoluer dans un environnement d’équipe « hostile » à qui nous avons proposé d’apprendre avec nous à « neutraliser ses ennemis » par des flèches de gentillesse…

Team Coaching c'est quoi ?

 Le Team Coaching

développe le fonctionnement de l’équipe à travers l’observation du comportement individuel, et introduit la réflexion en lien avec le quotidien professionnel tout en intégrant la notion d’auto coaching.

 

Le Team Building

apporte de l’énergie & de la stimulation.

Objectifs :

  • Renforcer la cohésion
  • Fluidifier le fonctionnement et augmenter la performance de votre équipe
  • Apprendre à travailler ensemble d’une manière à rendre votre équipe à la fois efficace et efficiente
  • Pratiquer l’écoute active, le feedback & l’échange réel Maîtriser les émotions : stress, peur, colère, frustration …
  • Effectuer un « Emotional-Cleaning » Collectif

Méthodologie :

Alternance entre théorie, jeux et travaux pratiques d’intégration sous la régulation d’un coach externe

Bénéfices :

Passer de la performance momentanée à l’excellence durable grâce au process « WIN-WIN-WIN »

4 Programmes sur mesure :

  • Découverte : ½ journée
  • Cohésion : 1 journée
  • Performance : 2 jours
  • Synchronisation : 2 jours

Le coaching d'équipe avec TeamCoaching Maroc

Team coaching Maroc, vous propose un programme détaillé et performant concernant les prestations coaching qui favorise la force indiviuelle et celle d'une équipe.  

Le coaching d'équipe est une pratique spécifique du coaching. 
C'est une démarche complexe car elle doit prendre en compte 
toutes les personnes de l'équipe à titre individuel 
mais aussi le groupe dans son ensemble

Radicalement différent du coaching individuel, dans son approche, 
le coaching d'équipe vise également la performance. 
Mais cette fois-ci, ce n'est plus l'individu qui est au centre 
des préoccupations mais le groupe, avec pour objectif 
de parvenir à fonctionner efficacement.

Le coach suit dans la durée l'ensemble des membres de l'équipe. 
Il ne remplace pas le manager de l'équipe ou le chef de projet. 
Ce n'est pas un membre de l'équipe, il doit plutôt être considéré 
comme un miroir ou un observateur de l'équipe.

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 
Il repose sur un diagnostic préliminaire 
effectué auprès du manager et de l'équipe. 

Beaucoup plus qu'une simple consolidation d'équipe, il sert à : 
► Augmenter la performance opérationnelle et la productivité 
de l'équipe
► Améliorer les relations interpersonnelles et l'aptitude 
à travailler ensemble
► Accroître la capacité de résolution de problèmes 
et de prise de décisions en commun
► Développer le leadership et la légitimité du manager
► Résoudre des conflits

► Assurer la cohésion
► Développer la synergie, etc…

 

LE COACHING D'ÉQUIPE

Le coaching d'équipe est une pratique spécifique du coaching. 
C'est une démarche complexe car elle doit prendre en compte 
toutes les personnes de l'équipe à titre individuel 
mais aussi le groupe dans son ensemble

Radicalement différent du coaching individuel, dans son approche, 
le coaching d'équipe vise également la performance. 
Mais cette fois-ci, ce n'est plus l'individu qui est au centre 
des préoccupations mais le groupe, avec pour objectif 
de parvenir à fonctionner efficacement.

Le coach suit dans la durée l'ensemble des membres de l'équipe. 
Il ne remplace pas le manager de l'équipe ou le chef de projet. 
Ce n'est pas un membre de l'équipe, il doit plutôt être considéré 
comme un miroir ou un observateur de l'équipe.

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 
Il repose sur un diagnostic préliminaire 
effectué auprès du manager et de l'équipe. 

Beaucoup plus qu'une simple consolidation d'équipe, il sert à : 
► Augmenter la performance opérationnelle et la productivité 
de l'équipe
► Améliorer les relations interpersonnelles et l'aptitude 
à travailler ensemble
► Accroître la capacité de résolution de problèmes 
et de prise de décisions en commun
► Développer le leadership et la légitimité du manager
► Résoudre des conflits
► Assurer la cohésion
► Développer la synergie, etc…

Coacher une équipe, c'est à la fois tenir compte des individualités 
qui la composent et savoir réunir ces individualités l'espace 
d'un projet, d'une action déterminée autour d'un même objectif.

LE COACHING COLLECTIF


Le coaching collectif est à mi-chemin 
entre le coaching individuel et le coaching d'équipe. 
Les techniques utilisées sont celles du coaching individuel, 
mais visent l'élaboration de solutions collectives par les participants 
autour d'objectifs qui leur sont communs, et qui seront traduits 
en plans d'action individuels.

Les exemples de recours au coaching collectif 
sont du même type que pour le coaching individuel :
► Renforcer l'échange de pratiques entre pairs
► Intégrer un changement introduit à l'échelle de l'entreprise 
dans ses pratiques personnelles

► Trouver ensemble des solutions à des problématiques 
managériales communes,
► Mettre en place des conduites adaptées à des problématiques
nouvelles et communes : mixité et diversité, développement durable

 

Team Coaching Maroc: Les bénéfices du coaching !

Les profonds bouleversements organisationnels, temporels 
et culturels s'opérant aujourd'hui dans les entreprises 
nécessitent un accompagnement personnalisé des collaborateurs.

Notre expérience sur plusieurs années du coaching d'entreprise 
a révélé des avantages considérables pour les coachés 
mais aussi pour les entreprises et organisations qui les emploient.
Parmi les principaux avantages :
► L'amélioration des capacités de résolution de problème de l'individu
► La réduction des niveaux de stress du collaborateur
► L'augmentation des niveaux de confiance du coaché
► L'amélioration de ses relations avec ses collègues
► Des impacts positifs sur la performance individuelle au travail
► Une capacité accrue pour les collaborateurs à s'adapter
au changement.

Pour les entreprises et les organisations, le recours
au coaching permet :

► De favoriser un processus d'auto-développement
► D'accroître l'engagement des employés et leur satisfaction 
de leur travail
► De fidéliser les collaborateurs
► De développer les initiatives
► De s'adapter plus rapidement au changement, etc...

À travers le processus de coaching, le coaché clarifie ses objectifs 
et s'engage dans l'action grâce à l'interactivité établie 
entre le coach et lui. 
L'accompagnement permet au coaché de progresser
plus rapidement 

vers la réalisation de ses objectifs, car la relation de coaching 
l'invite à se centrer sur ses priorités et ses choix. 
Le processus de coaching se concentre sur la situation présente du coaché et sur ce qu'il est prêt à mettre en oeuvre 
pour atteindre ses objectifs. 

ATELIERS PRATIQUES à Marrakech

L'Agile Assessment en team coaching ou coaching d'équipe, que nous vous proposons à Marrakech, Casablanca Rabat et d'autre ville selon votre demande partout au Maroc, consiste à réaliser ensemble une évaluation de vos pratiques à partir d'une multitude d'ateliers et de pratiques. Souvent coupler à d'autres ateliers, cet étape permet de contribuer à l'émergence de futurs activités participatives.

Un travail de restitution sera réalisé à l'issue de ces ateliers, des préconisations seront établies et elles seront accompagnées d'une analyse de risque.

Nous réalisons ces actions dans deux cas de figure pour :

  • Apprécier la qualité des environnements développés par les équipes : l'Agilité de l'Equipe.
  • Observer les mécanismes vitaux de l'organisation générale : l'Agilité de l'Organisation.

Agile Team Coaching : unique à Marrakech partout au Maroc

Nous vous offrons à travers une méthode novatrice au Maroc et participative avec vos équipes, le coaching d’équipe agile, pour les Equipes (IT, Marketing, Commercial, Projets) nécessitant d’améliorer leur agilité de s’intéresser à l’efficacité et l’efficience de l’équipe dans son contexte et ses pratiques. L’ATC s’intéresse à la Satisfaction Client, à la Qualité et à la Performance de l’équipe pour faire évoluer les anciens paradigmes du triptyque Coût-Délai-Qualité. Ce coaching amènera les équipes à travailler sur les sujets suivants pour offrir plus de valeur aux utilisateurs finaux :

  • Valeur métier
  • Implication end-user
  • Livraison fréquente
  • Lever des obstacles
  • Rythme durable
  • Collaboration
  • Devops
  • High quality code
  • itératif

Nous offrons un accompagnement personnalisé et participatif à base d’ateliers et de jeux stratégiques qui mettra en oeuvre des Formations en présentiel, du Conseil et du Management de Conduite de Changement (Organization Change Management).

Nous opérons sur les pricipaux villes du Maroc à Savoir :

  • Agile Team Coaching à Marrakech
  • Coaching d'équipe Agile à Casablanca
  • Agile Team Coaching à Rabat
  • Coaching d'équipe Agile à Mazagan el Jadida...

 

5 étapes pour réussir un coaching d'équipe !

Un client vous sollicite pour intervenir auprès d’une équipe qui dysfonctionne ou qui rencontre des problèmes importants. Il vous demande un accompagnement, une supervision, un coaching d’équipe, une formation « sur mesure »... De quelle façon allez-vous aborder une telle demande ? Quelles questions allez-vous lui poser ? Quels sont les principaux enjeux que vous devrez prendre en considération ? Quels sont les pièges à éviter ? Et quelles stratégies d’intervention allez-vous pouvoir élaborer et mettre en œuvre ?

Règle n° 1 : S’intéresser aux interactions

Dans de nombreuses approches « classiques » du coaching d’équipe, l’intervenant s’intéresse en priorité aux « compétences », aux « préférences », aux « rôles », aux « caractéristiques psychologiques » de chacun des membres de l’équipe, pris séparément, pour en déduire des conclusions portant sur le fonctionnement de l’ensemble de l’équipe. Pour notre part, nous considérons que, pour comprendre la dynamique à l’œuvre au sein d’une équipe, l’attention de l’intervenant doit plutôt être focalisée sur la façon dont les différents membres de l’équipe interagissent les uns avec les autres, c’est à dire sur la façon dont leurs relations se structurent dans le processus. Cette façon de percevoir et de comprendre les situations problématiques, que nous qualifions de « regard interactionnel » ou de « paradigme systémique », permet de décrire les systèmes humains complexes non pas comme des objets statiques, aux caractéristiques fixes, mais comme des organismes adaptatifs en perpétuel mouvement, dont les différents membres ne sont pas considérés comme isolés les uns des autres, mais toujours dans une évolution relationnelle dynamique. Si des problèmes relationnels existent au sein de l’équipe, il nous semble par exemple souvent utile de comprendre dans quelle mesure ces problèmes se structurent de façon complémentaire ou de façon symétrique.

Un bel exemple de problématique d’équipe complémentaire est celle dans laquelle les membres de l’équipe ne cessent de solliciter l’aide de leur supérieur, et où celui-ci intervient pour résoudre leurs problèmes à leur place, ce qui les amène progressivement à prendre de moins en moins d’initiatives, etc. Le responsable se plaint d’être face à une équipe de collaborateurs passifs, immatures et irresponsables, alors que l’équipe se plaint que le responsable est sans cesse en train d’intervenir, ne leur laissant pas la place pour prendre la moindre initiative. « S’ils faisaient correctement leur travail, je n’aurais pas à intervenir en permanence », dit l’un. « Nous n’avons pas l’opportunité de prendre d’initiatives, car il intervient sans cesse », disent les autres… L’activisme de l’un alimente la passivité des autres, et inversement, dans ce que nous appelons un équilibre dysfonctionnel fondé sur une complémentarité rigide. On peut aussi parfois observer des dynamiques complémentaires rigides « inversées », dans lesquelles, par exemple, plus l’équipe met en cause le responsable et plus il essaie en vain de se justifier et de s’adapter aux attentes de ses collaborateurs, mais sans jamais parvenir à les satisfaire…

Les problèmes relationnels au sein d’une équipe se structurent aussi parfois selon des dynamiques que nous qualifions d’escalades symétriques. Ce sont des situations qui prennent par exemple la forme de luttes de pouvoir entre différents membres d’une équipe. Dans tel projet industriel, par exemple, le directeur de site essaie d’imposer un style de gestion très réactif et peu structuré, alors que son collaborateur direct, le chef de projet, essaie d’imposer une méthodologie de gestion de projet plus rigoureuse et reposant davantage sur l’anticipation. Au-delà du bien fondé de telle ou telle approche, ce qui émerge au niveau de l’interaction est un conflit de plus en plus ouvert entre les deux professionnels, l’un et l’autre accusant son collègue de « ne pas savoir gérer un projet », de faire preuve d’incompétence et de ne pas être « à sa place ». Là encore, plus le professionnel se sent mis en cause par son collègue, plus il risque de mettre en place des stratégies pour se défendre… en mettant en cause son collègue, et ainsi de suite dans ce que nous appellerons un équilibre dysfonctionnel fondé sur une escalade symétrique.

Il faut ajouter à cela que dans le cadre de problématiques d’équipe, les interactions symétriques ou complémentaires entre deux personnes ou deux groupes de personnes auront souvent lieu devant un « public », par exemple si les interactions ont lieu lors de réunions, ou que d’autres collègues sont mis en copie d’un échange d’emails. Bien souvent, les problématiques relationnelles symétriques seront amplifiés si elles se déroulent face à d’autres collègues, car chacun des deux protagonistes voudra d’autant plus garder la face qu’il se sentira observé par le collectif. De même, dans un fonctionnement très complémentaire, si un cadre dirigeant ne supporte par exemple absolument pas d’être remis en question sur quoi que ce soit par ses collaborateurs, le contexte collectif a toutes les chances de rigidifier encore davantage sa position. Les membres de l’équipe peuvent également être impliqués dans une escalade symétrique entre collègues, par exemple si lors d’un conflit entre deux personnes l’un ou l’autre des protagonistes passe ses journées à se plaindre du comportement de l’autre, prenant ainsi « en otage » les autres membres de l’équipe. S’ils rentrent dans le jeu des discussions interminables sur le sujet, ils risquent alors fort d’alimenter encore les plaintes de leur collègue sans pour autant l’aider à se donner les moyens de résoudre le problème avec la personne concernée. Pour illustrer les différents niveaux d’interaction à prendre en considération, et notamment la question d’éventuelles alliances au sein de l’équipe, on donnera l’exemple d’une situation très complémentaire dans laquelle les membres d’une équipe avaient pris l’habitude d’accepter des demandes « excessives » de la part de leur responsable au point d’en arriver à un niveau d’épuisement important, et où la solidarité au sein de l’équipe renforçait encore le problème : « Si je n’accepte pas cette nouvelle demande que me fait ma responsable, elle va très certainement le demander à mes collègues, et c’est elles qui devront en supporter les conséquences… »

Une lecture fine de ces différents processus relationnels donnera des pistes à l’intervenant pour rétablir davantage de symétrie dans les situations complémentaires rigides, et plus de complémentarité dans les situations d’escalade symétrique, tout en prenant en compte les éventuels enjeux de face liés à la présence d’un public.

Règle n° 2 : Se ménager de la marge de manœuvre

Dans le cadre de la relation entre un intervenant (interne ou externe) et son commanditaire, se pose la question de la marge de manœuvre que l’intervenant a pris le soin, ou non, de se ménager pour réaliser la mission qui lui est confiée. Quelle approche, quelle méthode compte-t-il utiliser ? Qui va-t-il rencontrer ? A quel moment ? Et le fera-t-il en présence du commanditaire, ou sans lui ? Nous avons pu, par expérience, corréler le niveau d’efficience de nos interventions collectives avec le degré de marge de manœuvre que nous avions pu, ou non, négocier avec nos commanditaires dès les premiers moments du processus. Un piège classique pour l’intervenant consiste en effet à accepter de la part de son client une obligation de fins et de moyens, c’est à dire à permettre à son mandataire d’exercer un contrôle extrêmement strict sur toutes les modalités de son intervention. Le mandataire pourra, par exemple, demander à fixer à l’avance toutes les étapes du processus de changement, décider unilatéralement qui l’intervenant aura le droit, ou non, de rencontrer dans le cadre de son intervention, réclamer des rapports détaillés et circonstanciés de chaque séance de travail, ou encore vouloir valider un descriptif verbatim de tout ce qui sera abordé lors des séances avec les membres des équipes concernées. Autant de contraintes qui, si elles se multiplient à l’excès, risquent de limiter sérieusement la marge de manœuvre et la souplesse adaptative de l’intervenant, et par conséquent son efficacité.

Une des manières de se ménager les bonnes conditions pour intervenir consiste à ne pas devenir plus « demandeur » de l’intervention que ne l’est le commanditaire. L’intervenant pourra, par exemple, communiquer de la façon suivante : « Il est important que vous choisissiez la bonne personne pour cette intervention, et que vous puissiez avoir une idée claire de sa façon d’aborder ce type de mandats. Je pense même qu’il serait utile que vous puissiez rencontrer plusieurs intervenants différents, pour vous faire une bonne idée du style de chacun et des différentes approches possibles. En ce qui me concerne, une chose très importante pour que je puisse intervenir dans les meilleures conditions, c’est qu’au cours du processus d’accompagnement, je puisse décider qui je vais rencontrer, quand et dans quelles conditions (en grand groupe, en petit groupe ou en individuel). Si vous pensez que cela ne sera pas possible, alors le mieux est probablement que vous travailliez avec quelqu’un d’autre. » Il est essentiel que l’intervenant comprenne bien ce que son commanditaire attend de lui : qu’il sache l’amener à clarifier l’objectif qu’il cherche à atteindre ou à définir problème qu’il cherche à résoudre par cette intervention, mais aussi qu’il garde le maximum d’autonomie concernant la façon dont il va s’y prendre pour remplir sa mission.

Si la situation idéale pour l’intervenant est de s’assurer une grande liberté d’action dès les premiers moments de l’intervention, dans la pratique, il est bien souvent nécessaire de renégocier le cadre de l’intervention en cours de route pour pouvoir réorienter la stratégie en fonction du potentiel de la situation à un moment donné. Il arrive, par exemple, qu’un intervenant accepte pour des raisons économiques ou tactiques, de donner une formation ou d’animer un atelier selon un format prédéfini pour satisfaire la demande d’un commanditaire sans trop se/lui poser de questions. Cette approche permet de mettre un « pied dans la porte » chez un client prometteur, mais elle n’est pas sans dangers, car elle risque de mettre l’intervenant dans une situation d’échec si les attentes de son commanditaire ne sont pas réalistes par rapport aux moyens d’action dont l’intervenant dispose pour atteindre les objectifs qui lui sont assignés. Tout dépend alors du type de relation qui s’établit entre le commanditaire et l’intervenant, mais aussi de la capacité de ce dernier à s’autoriser à renégocier le cadre lorsque le besoin s’en fait sentir.

Si ces redéfinitions du cadre ne sont pas toujours faciles à introduire, elles font néanmoins partie des outils les plus stratégiques dont dispose l’intervenant pour jouer son rôle de facilitateur de changement.

Règle n° 3 : Identifier une éventuelle contrainte et savoir l’utiliser

Il est également essentiel de prendre en compte la relation qu’entretiennent les personnes devant participer au processus de l’intervention avec le commanditaire de cette intervention. Les participants se sont-ils portés volontaires pour ce coaching ou s’agit-il d’une démarche qui leur est imposée par leur direction ? Règne-t-il un climat de confiance ou de méfiance entre les participants et le mandataire ? A tout intervenant expérimenté, il est arrivé au moins une fois dans sa vie professionnelle de se retrouver face à des participants qui avaient le sentiment de devoir subir la formation qu’il leur dispensait comme un diktat venant de leur hiérarchie. En d’autres termes, les participants sont-ils là de leur plein gré, ou sont-ils sous contrainte ? Bien entendu, cela aura un impact important sur la dynamique qui émergera lors l’intervention, et on ne saurait donc trop insister sur l’importance de cette dimension relationnelle. Cette question est en outre à mettre en lien avec les points soulevés dans le point précédent : l’intervenant a-t-il pris le temps de vérifier ces informations auprès du mandataire ? A-t-il eu la possibilité de discuter individuellement avec certains participants avant de les rencontrer collectivement ? Et, s’il s’agit d’un contexte « sous contrainte », quelle marge de manœuvre s’est-il donné au cas où certains participants s’avéraient par trop réfractaires à entrer dans ce qui leur était proposé ?

Dans notre expérience, l’intervenant peut considérer a priori que dans la grande majorité des situations d’intervention auprès d’une équipe au sein d’une organisation, il existe une dimension de contrainte, que celle-ci soit implicite ou explicite. Dans le monde des organisations, il est en effet difficile de refuser une proposition d’accompagnement visant à améliorer une performance ou à résoudre un problème… On distinguera plusieurs cas de figure « classiques » impliquant une situation de contrainte : dans le premier cas de figure, le mandataire est aussi le contraignant, et c’est lui qui impose aux membres de l’équipe une intervention pour faire évoluer une situation qui lui pose problème. Dans ce cas, il sera important non seulement de clarifier ses attentes, et les conséquences envisagées en cas de non changement, mais aussi de s’assurer de sa collaboration au cours du processus de changement. On aura intérêt à expliciter cette contrainte auprès des participants, ou, encore mieux, à lui demander de le faire lui-même.

Dans d’autres situations, le mandataire est lui-même sous la contrainte d’une instance hiérarchique plus élevée, ce qui pose un certain nombre de questions épineuses, la principale étant : dans quelle mesure souhaite-t-il vraiment voir la situation évoluer, ou, a contrario, dans quelle mesure ne risque-t-il pas de faire en sorte de « neutraliser » une tentative de changement qui ne vient pas de lui ?

Dans le cas d’un mandataire « sous contrainte », il sera pour nous essentiel de faire notre possible pour pouvoir rencontrer l’instance contraignante et de clarifier avec elle ce qu’elle attend de l’intervention. On pourra également parfois faire une offre de services au mandataire pour l’aider à trouver les meilleures pistes stratégiques pour faire lever cette contrainte.

Règle n° 4 : Bien comprendre le fonctionnement de la problématique

Au-delà des questions de marge de manœuvre et de l’identification d’une éventuelle contrainte, l’intervenant devra s’attacher à bien comprendre ce qui est à l’œuvre dans l’équilibre problématique du système qu’il cherche à influencer. En ne prenant pas le temps de « problématiser » suffisamment la demande de son client, l’intervenant prend de nombreux risques, le principal étant de proposer une intervention qui serait, au mieux inutile, au pire aggravante. D’un point de vue stratégique, une des questions les plus importantes que l’intervenant pourra se poser est la suivante : « Dans quelle mesure, est-ce que ce que me demande mon client n’est pas une façon de perpétuer les tentatives de solution inefficaces qui ont déjà été mises en œuvre jusqu’à maintenant pour essayer de résoudre le problème de cette équipe ? En d’autres termes, l’intervention envisagée est-elle susceptible de faire une réelle différence, ou risque-elle plutôt d’entrainer un renforcement des problèmes ? » Comment répondre à cette question de manière sûre ? Eh bien, c’est en prenant le temps de bien comprendre avec le commanditaire ce qui a déjà été tenté jusqu’ici pour résoudre le problème, en se posant la question de savoir si l’intervention envisagée serait juste « davantage de la même chose », ou apporterait quelque chose de qualitativement différent. Pour illustrer notre propos, nous allons présenter les trois grands types d’équilibres dysfonctionnels « classiques » impliquant un collectif, en nous inspirant du travail de Wittezaele et Nardone, permettant de dégager ce que nous appellerons un « diagnostic opératoire systémique et stratégique ».

Logique d’évitement

Lorsqu’un responsable hiérarchique est confronté à une difficulté au sein de son équipe, il peut lui arriver de réagir selon une logique que nous qualifierons de « logique d’évitement ». Le responsable pourra, par exemple, tolérer certains comportements problématiques chez ses collaborateurs sans réagir, faisant comme s’il ne les remarquait pas, ou encore commencer à éviter physiquement certains collaborateurs s’il craint qu’une rencontre ou une discussion avec eux ne se passe mal. Dans d’autres cas l’évitement pourra prendre la forme de promesses faites à l’équipe, qu’il sait pertinemment qu’il ne pourra pas tenir, ou encore, parfois, l’accession à des demandes toujours plus exigeantes de la part des membres de l’équipe pour les satisfaire, au point où son autorité finira par être totalement discréditée. On le voit, les stratégies d’évitement possibles sont nombreuses et peuvent prendre différentes formes, mais elles reposent toutes sur le même principe : si, dans un premier temps, le mouvement de retrait « soulage » le responsable, car il n’a pas à faire face à ce qu’il redoute (conflit, déception…), la conséquence à moyen ou long terme est bien souvent une aggravation de la situation problématique – sauf bien entendu dans les cas, malheureusement assez rares, où le problème se règle de lui-même… Il peut aussi parfois être stratégique pour le responsable d’attendre sans intervenir, par exemple si le potentiel de la situation n’est pas favorable, ou si l’on sait qu’un remaniement ou un départ est imminent et que l’on préfère dès lors laisser certains problèmes épineux à régler à son successeur…

Un scénario relativement classique des stratégies d’évitement impliquant un coaching d’équipe est celui dans lequel un responsable d’équipe mandate l’intervenant pour régler à sa place certains problèmes qu’il n’ose pas affronter lui-même. Afin d’éviter de se confronter à la situation, il est plus commode pour lui de demander à un tiers de faire le travail ingrat à sa place. Cette stratégie comporte de nombreux dangers : le premier étant que si l’intervenant parvient à résoudre lui-même le problème, il risque fort, par contraste, d’attirer l’attention sur l’incompétence managériale de son client. En outre, une fois l’intervention terminée, le mandataire se retrouvera avec ses collaborateurs, et ils n’auront pas nécessairement pu faire ensemble l’apprentissage d’une nouvelle modalité relationnelle, ce qui rend le risque de « rechute » très important. En acceptant de se substituer, même temporairement, au management en place, l’intervenant a donc toutes les chances de contribuer à fragiliser davantage ce dernier. L’autre risque encouru est que l’intervenant externe entreprenne une démarche d’affrontement des problèmes mais qu’en dernier ressort, son mandataire s’avère réticent au moment où il lui faudrait apporter son soutien décisif au processus de changement, réduisant ainsi les efforts de l’intervenant à néant.

Les collaborateurs peuvent eux-aussi utiliser l’intervenant pour perpétuer un processus d’évitement dans lequel ils passent leur temps à se plaindre entre eux, sans jamais oser affronter leur hiérarchie directement, par peur d’éventuelles conséquences. Là aussi, certains solliciteront alors l’intervenant pour qu’il aille dire à leur place au management que c’est à lui de changer.

On peut aussi trouver des stratégies d’évitement entre les membres d’une même équipe, ou entre divers départements. Dans ces situations, on devra être surtout très attentif à toutes les interventions d’aide qui pourraient avoir pour effet de continuer à rendre cet évitement possible.

Il arrive aussi parfois que le mandataire oriente l’intervenant dans une direction qui lui permet de continuer à éviter d’affronter le problème. C’est ce qu’a par exemple vécu cette coach que le chef de service d’une collectivité avait mandatée pour intervenir auprès d’une de ses équipes au sein de laquelle de nombreux problèmes relationnels étaient à déplorer depuis plusieurs mois… et qui, au cours des entretiens préparatoires, se rendit compte que le responsable de cette équipe avait pour projet avoué de se débarrasser de tous les collaborateurs actuels. Le chef de service n’osant pas affronter le responsable d’équipe, personnage au caractère fort, nouvellement arrivé au sein du département, il avait imaginé une intervention auprès des collaborateurs n’impliquant pas ce dernier…

S’il perçoit qu’il est en train d’être instrumentalisé par les uns ou les autres et que son intervention risque fort de leur permettre de continuer à éviter de se confronter à ce qu’ils doivent affronter pour résoudre les problèmes, l’intervenant devra faire lui-même preuve de courage, en mettant délicatement ses clients face à leurs responsabilités, tout en leur proposant son soutien.

Logique de contrôle

Lorsqu’une équipe va mal, le responsable est bien souvent amené à réagir en essayant de reprendre le contrôle sur la situation. Il va organiser des réunions, discuter avec les personnes concernées, prendre des mesures disciplinaires si nécessaire pour essayer de corriger les écarts, rappeler les objectifs ou en fixer de nouveaux avec l’équipe, établir des indicateurs de performance spécifiques, demander un reporting plus régulier, essayer de faire comprendre à l’équipe qu’il faut qu’elle change, que les choses ne peuvent pas continuer comme ça... Et parfois, malgré toute la bonne volonté et tous les efforts du monde, les choses ne s’améliorent pas…

Dans des cas de ce type, l’intervenant pourra être appelé comme énième tentative pour essayer de convaincre le collectif du bienfondé de certains changements : « Il faut qu’ils comprennent qu’ils doivent changer ! Il est important de leur faire prendre conscience de l’urgence du changement ! Cette équipe doit commencer à se remettre en question et arrêter de toujours rejeter la faute sur l’extérieur ! » On lui demandera alors de les convaincre, de trouver les bons arguments, les bons jeux de rôle, les bons exercices en plein air, de leur expliquer les avantages qu’il y a à changer, en utilisant, pourquoi pas aussi, des histoires, de belles métaphores, une citation taoïste et nombre d’exemples illustratifs tirés des « best practices »… Autant de tentatives qui, très vraisemblablement, susciteront une vive résistance de la part des collaborateurs à qui on essaie d’imposer un certain formatage idéologique et une direction unique. La résistance sera souvent proportionnelle à la pression exercée, et si toutes les tentatives précédentes pour les faire « bouger » ont été un échec, il est fort à parier que si l’intervenant continue dans cette voie, il suscitera la même résistance.

Dans la même veine, si la relation entre le mandant et ses collaborateurs est déjà excessivement « complémentaire », à savoir une direction faisant des demandes « excessives », et des collaborateurs acceptant cela à contrecœur, l’intervenant devra prendre garde lui-même de ne pas accepter les demandes inacceptables de la part de son client. En le faisant, il deviendrait alors probablement complice d’un processus d’aggravation de la situation.

Logique de validation de croyances

Le responsable d’équipe confronté à une situation difficile va parfois aussi essayer de comprendre la « cause du problème », et, dans certains cas, par extension, essayer d’identifier le ou les coupables, celles ou ceux qui créent les problèmes, afin de pouvoir soit les remettre « dans le rang », soit leur faire quitter l’équipe. Notre propos n’est pas de nier le fait qu’une seule personne peut parfois significativement nuire par ses comportements au bon fonctionnement de toute une équipe, et que dans certains cas, un remaniement est nécessaire pour permettre un changement durable. Mais il arrive que cette façon de chercher un coupable agisse comme une prophétie auto-réalisatrice destructrice pour l’équipe. On citera l’exemple de ce responsable qui, à l’occasion d’une réunion d’équipe, déclare à ses collaborateurs : « Dans cette équipe de direction, certains ne méritent pas du tout leur place ! » Déclaration bien entendu susceptible de créer un contexte fort anxiogène pour les membres de l’équipe, et d’induire une ambiance de suspicion et des attitudes défensives chez les collaborateurs qui se sentent visés par l’accusation de leur chef, le confortant dans son hypothèse qu’ils n’étaient pas fiables.

Et il arrive bien souvent que dans ce type de contexte, un intervenant extérieur soit appelé pour établir un diagnostic de la situation de l’équipe. L’un des pièges fréquents de ce type de demandes est une attente explicite ou implicite d’identifier les bons et les mauvais éléments de l’équipe, (les « hauts potentiels » et les « brebis galeuses »). En faisant passer divers tests aux membres de l’équipe, certains praticiens peuvent être amenés à fournir au mandataire des conclusions diagnostiques qui risquent fort de renforcer le processus de prophéties auto-réalisatrices décrit plus haut. Une consultante avait ainsi partagé le profil psychologique d’un collaborateur avec le chef d’équipe. Ce profil faisait ressortir que le collaborateur en question était quelqu’un de manipulateur… Une fois le diagnostic posé, toutes les initiatives du collaborateur, même celles qui allaient dans le sens désiré, furent interprétées par son supérieur hiérarchique comme des tentatives de le manipuler, ce qui contribua à dégrader encore plus leur relation. On le voit, ces outils de diagnostic individuel ne prennent pas en compte la dimension systémique des dynamiques relationnelles à l’œuvre dans un collectif, et elles ont par conséquent de fortes chances de rigidifier les positions de chacun plutôt que d’aider à comprendre ce qui sous-tend les problèmes et à permettre de les résoudre. En outre, de telles démarches risquent parfois d’alimenter l’évitement du management (ce n’est pas moi qui dis que cet employé ne convient pas au poste, c’est le rapport du consultant) ou sa tendance à un contrôle excessif (j’ai maintenant en main un rapport détaillé qui me permet de comprendre le fonctionnement psychologique de chacun de mes collaborateurs). De plus, si les conclusions du rapport diagnostic ne conviennent pas aux collaborateurs, on pourra s’attendre à ce qu’ils réagissent très vivement aux conclusions proposées par l’expert. Là-aussi le jeu des prophéties auto-réalisatrices peut fonctionner à plein régime. Ainsi, un consultant qui essayait vainement de convaincre un cadre dirigeant que son analyse psychologique montrait qu’il avait très peu conscience de ses propres forces et faiblesse, interprétait le déni de son client comme une preuve additionnelle que le diagnostic psychologique émanant du test était juste... Inversement, les conclusions du rapport pourront parfois être utilisées par les collaborateurs pour justifier le fait de ne pas changer leur comportement : « Je suis comme ça, je n’y peux rien. C’est ma personnalité, comme le dit le rapport, on ne me changera pas... »

Attention donc aux outils d’analyse individuels, qui risquent bien souvent d’amener les personnes à camper sur leurs positions plutôt que de favoriser le changement.

Règle n° 5 : S’appuyer sur le potentiel de la situation

Les interventions stratégiques s’appuieront directement sur la structure du problème pour provoquer changement. Si l’on observe un processus d’évitement dysfonctionnel, on amènera les personnes à progressivement affronter ce qu’elles évitent de faire. Bien entendu, dans ces situations d’évitement, la tentation en tant qu’intervenant peut être très forte de mettre en place des stratégies de « compensation » qui n’aideront pas au changement. Ainsi, par exemple, cette équipe au sein de laquelle on reproche aux personnes de ne jamais prendre d’initiative… au moment d’un atelier de groupe, faudra-t-il que l’intervenant se lève et commence à prendre les notes au tableau, ou sera-t-il plus stratégique de rester assis et d’attendre que quelqu’un se porte volontaire ? Ou si un collaborateur essaie d’utiliser l’intervenant pour perpétuer un évitement relationnel avec son supérieur : « il faut que vous disiez à mon chef qu’il est trop ceci ou trop cela… », l’intervenant pourra lui répondre : « j’imagine que si vous ne le lui dites pas vous-même directement, c’est que vous avez de très bonnes raisons. Que pourrait-il se passer de pire si vous le faisiez ? »

Imaginons une logique de contrôle inefficace, par exemple un nouveau chef de service qui a reçu pour mission de changer la culture de son département, qui se heurte à une forte résistance de la part de ses collaborateurs, et qui vous demande de l’aider à trouver de nouveaux arguments pour les convaincre de l’importance du changement : plutôt que d’entrer directement dans sa demande, on pourra l’inviter à communiquer à l’équipe de la façon suivante : « La culture de cette organisation est en train de changer, et je sais que certains s’en réjouissent alors que d’autres voient ça d’un très mauvais œil. Et c’est tout à fait normal : lorsqu’un changement de ce type se produit dans une organisation, cela ne convient pas à tout le monde, et certaines personnes sont souvent amenées à partir avec le temps… » On voit qu’on a remplacé l’injonction « vous devez changer » par une autre « vous n’êtes pas obligés de changer… », ce qui a toutes les chances d’apaiser la dynamique relationnelle tendue entre le supérieur et son équipe, tout en envoyant un message clair sur les conséquences probables d’un non changement. Une alternative consisterait à inviter le responsable d’équipe à encourager ses collègues à lui faire part de toutes leurs critiques, en leur disant qu’en faisant cela, ils l’aident à améliorer le processus de changement (stratégie classique d’utilisation de la résistance…).

Dans une situation où l’équipe essaie d’instrumentaliser l’intervenant pour se débarrasser de son supérieur hiérarchique (cas d’espèce de tentative de contrôle plus fréquent qu’on ne pourrait le croire…), l’intervenant pourra par exemple inviter l’équipe à réfléchir à la question suivante : « Et si vous étiez certains que ce chef ne va ni partir ni changer au cours des prochaines années, que feriez-vous ? » Cette technique, dite du « comme-si paradoxal » permet de refocaliser les membres de l’équipe sur leur responsabilité dans le système et sur ce qui est effectivement « sous leur contrôle ». Dans les cas de ce type, on devra éviter les séances collectives de « déballage » des problèmes, en particulier lorsque les participants ont accumulé une grande frustration à l’égard de leur management, ou que les relations entre eux sont fort dégradées…

Les fonctionnements fondés sur une logique de « validation de croyance » sont particulièrement délicats à appréhender dans un cadre collectif. En effet, si une personne est convaincue que tous les membres de son équipe sont ligués contre elle, il sera probablement impossible, voire contre-productif d’aborder cette question avec elle en présence de ses « ennemis ». En effet, il sera alors quasi-impossible pour l’intervenant de « rejoindre » la personne dans sa vision de la situation en présence des autres, qui auront très probablement une perception des choses très différente. On risque en effet d’assister à une lutte stérile de visions du monde. Un travail d’accompagnement individuel sera alors le plus souvent nécessaire pour permettre à la personne de « déconstruire » progressivement ses perceptions en l’aidant à trouver des modalités d’interaction plus fonctionnelles avec ses collègues. Ainsi cette collaboratrice persuadée d’évoluer dans un environnement d’équipe « hostile » à qui nous avons proposé d’apprendre avec nous à « neutraliser ses ennemis » par des flèches de gentillesse…

Team Coaching c'est quoi ?

 Le Team Coaching

développe le fonctionnement de l’équipe à travers l’observation du comportement individuel, et introduit la réflexion en lien avec le quotidien professionnel tout en intégrant la notion d’auto coaching.

 

Le Team Building

apporte de l’énergie & de la stimulation.

Objectifs :

  • Renforcer la cohésion
  • Fluidifier le fonctionnement et augmenter la performance de votre équipe
  • Apprendre à travailler ensemble d’une manière à rendre votre équipe à la fois efficace et efficiente
  • Pratiquer l’écoute active, le feedback & l’échange réel Maîtriser les émotions : stress, peur, colère, frustration …
  • Effectuer un « Emotional-Cleaning » Collectif

Méthodologie :

Alternance entre théorie, jeux et travaux pratiques d’intégration sous la régulation d’un coach externe

Bénéfices :

Passer de la performance momentanée à l’excellence durable grâce au process « WIN-WIN-WIN »

4 Programmes sur mesure :

  • Découverte : ½ journée
  • Cohésion : 1 journée
  • Performance : 2 jours
  • Synchronisation : 2 jours

Le coaching d'équipe avec TeamCoaching Maroc

Team coaching Maroc, vous propose un programme détaillé et performant concernant les prestations coaching qui favorise la force indiviuelle et celle d'une équipe.  

Le coaching d'équipe est une pratique spécifique du coaching. 
C'est une démarche complexe car elle doit prendre en compte 
toutes les personnes de l'équipe à titre individuel 
mais aussi le groupe dans son ensemble

Radicalement différent du coaching individuel, dans son approche, 
le coaching d'équipe vise également la performance. 
Mais cette fois-ci, ce n'est plus l'individu qui est au centre 
des préoccupations mais le groupe, avec pour objectif 
de parvenir à fonctionner efficacement.

Le coach suit dans la durée l'ensemble des membres de l'équipe. 
Il ne remplace pas le manager de l'équipe ou le chef de projet. 
Ce n'est pas un membre de l'équipe, il doit plutôt être considéré 
comme un miroir ou un observateur de l'équipe.

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 
Il repose sur un diagnostic préliminaire 
effectué auprès du manager et de l'équipe. 

Beaucoup plus qu'une simple consolidation d'équipe, il sert à : 
► Augmenter la performance opérationnelle et la productivité 
de l'équipe
► Améliorer les relations interpersonnelles et l'aptitude 
à travailler ensemble
► Accroître la capacité de résolution de problèmes 
et de prise de décisions en commun
► Développer le leadership et la légitimité du manager
► Résoudre des conflits

► Assurer la cohésion
► Développer la synergie, etc…

 

LE COACHING D'ÉQUIPE

Le coaching d'équipe est une pratique spécifique du coaching. 
C'est une démarche complexe car elle doit prendre en compte 
toutes les personnes de l'équipe à titre individuel 
mais aussi le groupe dans son ensemble

Radicalement différent du coaching individuel, dans son approche, 
le coaching d'équipe vise également la performance. 
Mais cette fois-ci, ce n'est plus l'individu qui est au centre 
des préoccupations mais le groupe, avec pour objectif 
de parvenir à fonctionner efficacement.

Le coach suit dans la durée l'ensemble des membres de l'équipe. 
Il ne remplace pas le manager de l'équipe ou le chef de projet. 
Ce n'est pas un membre de l'équipe, il doit plutôt être considéré 
comme un miroir ou un observateur de l'équipe.

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 

Notre accompagnement en coaching d'équipe s'adresse 
aux équipes naturelles existantes ou en voie d'être formées. 
Il repose sur un diagnostic préliminaire 
effectué auprès du manager et de l'équipe. 

Beaucoup plus qu'une simple consolidation d'équipe, il sert à : 
► Augmenter la performance opérationnelle et la productivité 
de l'équipe
► Améliorer les relations interpersonnelles et l'aptitude 
à travailler ensemble
► Accroître la capacité de résolution de problèmes 
et de prise de décisions en commun
► Développer le leadership et la légitimité du manager
► Résoudre des conflits
► Assurer la cohésion
► Développer la synergie, etc…

Coacher une équipe, c'est à la fois tenir compte des individualités 
qui la composent et savoir réunir ces individualités l'espace 
d'un projet, d'une action déterminée autour d'un même objectif.

LE COACHING COLLECTIF


Le coaching collectif est à mi-chemin 
entre le coaching individuel et le coaching d'équipe. 
Les techniques utilisées sont celles du coaching individuel, 
mais visent l'élaboration de solutions collectives par les participants 
autour d'objectifs qui leur sont communs, et qui seront traduits 
en plans d'action individuels.

Les exemples de recours au coaching collectif 
sont du même type que pour le coaching individuel :
► Renforcer l'échange de pratiques entre pairs
► Intégrer un changement introduit à l'échelle de l'entreprise 
dans ses pratiques personnelles

► Trouver ensemble des solutions à des problématiques 
managériales communes,
► Mettre en place des conduites adaptées à des problématiques
nouvelles et communes : mixité et diversité, développement durable

 

Team Coaching Maroc: Les bénéfices du coaching !

Les profonds bouleversements organisationnels, temporels 
et culturels s'opérant aujourd'hui dans les entreprises 
nécessitent un accompagnement personnalisé des collaborateurs.

Notre expérience sur plusieurs années du coaching d'entreprise 
a révélé des avantages considérables pour les coachés 
mais aussi pour les entreprises et organisations qui les emploient.
Parmi les principaux avantages :
► L'amélioration des capacités de résolution de problème de l'individu
► La réduction des niveaux de stress du collaborateur
► L'augmentation des niveaux de confiance du coaché
► L'amélioration de ses relations avec ses collègues
► Des impacts positifs sur la performance individuelle au travail
► Une capacité accrue pour les collaborateurs à s'adapter
au changement.

Pour les entreprises et les organisations, le recours
au coaching permet :

► De favoriser un processus d'auto-développement
► D'accroître l'engagement des employés et leur satisfaction 
de leur travail
► De fidéliser les collaborateurs
► De développer les initiatives
► De s'adapter plus rapidement au changement, etc...

À travers le processus de coaching, le coaché clarifie ses objectifs 
et s'engage dans l'action grâce à l'interactivité établie 
entre le coach et lui. 
L'accompagnement permet au coaché de progresser
plus rapidement 

vers la réalisation de ses objectifs, car la relation de coaching 
l'invite à se centrer sur ses priorités et ses choix. 
Le processus de coaching se concentre sur la situation présente du coaché et sur ce qu'il est prêt à mettre en oeuvre 
pour atteindre ses objectifs. 

ATELIERS PRATIQUES à Marrakech

L'Agile Assessment en team coaching ou coaching d'équipe, que nous vous proposons à Marrakech, Casablanca Rabat et d'autre ville selon votre demande partout au Maroc, consiste à réaliser ensemble une évaluation de vos pratiques à partir d'une multitude d'ateliers et de pratiques. Souvent coupler à d'autres ateliers, cet étape permet de contribuer à l'émergence de futurs activités participatives.

Un travail de restitution sera réalisé à l'issue de ces ateliers, des préconisations seront établies et elles seront accompagnées d'une analyse de risque.

Nous réalisons ces actions dans deux cas de figure pour :

  • Apprécier la qualité des environnements développés par les équipes : l'Agilité de l'Equipe.
  • Observer les mécanismes vitaux de l'organisation générale : l'Agilité de l'Organisation.

Agile Team Coaching : unique à Marrakech partout au Maroc

Nous vous offrons à travers une méthode novatrice au Maroc et participative avec vos équipes, le coaching d’équipe agile, pour les Equipes (IT, Marketing, Commercial, Projets) nécessitant d’améliorer leur agilité de s’intéresser à l’efficacité et l’efficience de l’équipe dans son contexte et ses pratiques. L’ATC s’intéresse à la Satisfaction Client, à la Qualité et à la Performance de l’équipe pour faire évoluer les anciens paradigmes du triptyque Coût-Délai-Qualité. Ce coaching amènera les équipes à travailler sur les sujets suivants pour offrir plus de valeur aux utilisateurs finaux :

  • Valeur métier
  • Implication end-user
  • Livraison fréquente
  • Lever des obstacles
  • Rythme durable
  • Collaboration
  • Devops
  • High quality code
  • itératif

Nous offrons un accompagnement personnalisé et participatif à base d’ateliers et de jeux stratégiques qui mettra en oeuvre des Formations en présentiel, du Conseil et du Management de Conduite de Changement (Organization Change Management).

Nous opérons sur les pricipaux villes du Maroc à Savoir :

  • Agile Team Coaching à Marrakech
  • Coaching d'équipe Agile à Casablanca
  • Agile Team Coaching à Rabat
  • Coaching d'équipe Agile à Mazagan el Jadida...

 

Leadership, Performance et Conduite de Changement - Coaching d'équipe

MANAGER AGILE : ACTEUR DE LA PERFORMANCE

Leadership, Engagement, Processus

Pour les managers, nécessitant de s’adapter à un contexte changeant et à des équipes de plus en plus agiles, l’accompagnement du manager agile est un coaching qui propose de réaligner les processus et fournit une trousse à outils agiles (Kanban, Management Visuel, Cumulative Flow Diagram, Value Stream Mapping, Happy Cards, Indicateurs de leadership) pour travailler l’engagement et la performance des équipes, la mise en place des processus agile. Contrairement aux systèmes traditionnels, l’accompagnement du manager Agile permet au manager de se synchroniser avec la performance de son équipe.

LEADERSHIP

  • Consolider le leadership de vos équipes
  • Générer  votre confiance
  • Favoriser votre expression
  • Créez les conditions propices à la performance
  • Encouragez un vécu de qualité en travaillant vos capacités de leader
  • Identifiez vos forces et vos compétences
  • Reconnaître vos points aveugles et vos vulnérabilités
  • Dynamique d’équipe : Mesurer et faire évoluer

AUGMENTER L’EFFICIENCE D’UNE ÉQUIPE

  • Développer une dynamique positive ;
  • Déterminer les préférences individuelles de votre équipe ;
  • Définir les préférences collectives d’une équipe ;
  • Mettre en évidence les potentialités et les vulnérabilités (compatibilités et incompatibilités) d’une équipe ;
  • Transformer en atouts les différences à l’intérieur d’une équipe ;
  • Intégrer les personnes isolées ou rejetées de votre équipe.

CRÉATIVITÉ, INNOVATIO N ET ENGAGEMENT

  • Encourager l’innovation et la créativité.
  • Accompagnement des services marketing et d'innovation
  • Proposer des outils innovants : Design Thinking, Ocean Bleu, Innovation Games, Lean Startup.

Coaching d’équipe : pour une équipe solidaire et efficace

L’accompagnement du personnel est assez difficile, notamment lorsque les salariés sont tenus de travailler en équipe. Pour vous faciliter la vie, il est judicieux de demander les services d’un consultant en coaching d’équipe expérimenté.

Coaching d’équipe : les objectifs

Le coaching d’équipe est l’un des volets spécifiques de cette méthode d’accompagnement professionnel qu’est le coaching. Lors de cette opération, le professionnel s’occupe uniquement des équipes dans une entreprise donnée. Néanmoins, il ne fait pas de l’ombre au chef d’équipe en charge de l’encadrement. Il peut donner des conseils le temps d’un briefing journalier ou hebdomadaire. Il se focalise essentiellement sur la capacité du groupe à s’organiser et à œuvrer pour l’atteinte des objectifs qu’ils se sont fixés. Il tient également compte de chaque membre constituant l’équipe, de leur capacité à s’intégrer et à participer pleinement au système d’entraide exigé par son métier. Le programme de coaching d’équipe s’étale sur un ou plusieurs mois selon l’excellence des résultats.

Le coaching d’équipe est inséparable du team coaching ou team building. Si le coaching d’équipe se focalise sur la capacité du groupe à s’organiser afin d’atteindre les objectifs fixés au préalable, le building team se base essentiellement sur l’ambiance de groupe et la cohésion d’équipe. Le coach choisi veille à ce que chaque membre constituant l’équipe s’épanouisse dans l’accomplissement de son travail. Les tâches peuvent se révéler ardues. Néanmoins, aucun salarié ne doit ressentir ses responsabilités quotidiennes comme une véritable corvée. Le team building œuvre pour la constitution d’une équipe solidaire, épanouie et surtout efficiente.

Coaching d’équipe : méthodes

Nombreuses sont les méthodes applicables en coaching d’équipe. Autrement dît, chaque professionnel choisi sa propre démarche pour le suivi et la formation d’une équipe. Ils appliquent des méthodes éprouvées et jugées efficaces. Généralement, le professionnel s’attelle à discuter avec le chef d’équipe. Cette conversation lui permet déjà d’entrevoir les compétences du meneur d’hommes en face de lui. Après cette discussion, il organise une rencontre individuelle avec chaque membre constituant l’équipe. Après la prise de contact, le professionnel établit un cahier de charges précisant les objectifs, les méthodes à appliquer et les délais pour la formation proposée. Il apportera sa vision des choses pour chaque projet de l’équipe. Il donnera également une formation poussée en management d’équipes au responsable du groupe.

Le professionnel choisi sera également en charge de l’établissement d’un programme de team building. Généralement, le coach propose des séances de travail ou chaque membre de groupe sera convié à parler de ses impressions, ses craintes et également ses satisfactions. Le coach s’attelle à proposer des théories rigoureuses portant par exemple sur la cohésion d’équipe, l’importance de la communication, le dispatching rigoureux des tâches pour l’atteinte des objectifs fixés au préalable. Le côté psychologique n’est également pas délaissé. Le professionnel interroge chaque membre quant à sa satisfaction dans l’exécution de ses tâches au quotidien. À travers les cours qu’il dispense, il met l’accent sur la motivation d’équipe ou encore l’importance des soins de bien-être et la prise en charge psychologique en entreprise.

Team Coaching Maroc: Les bénéfices du coaching !

Les profonds bouleversements organisationnels, temporels 
et culturels s'opérant aujourd'hui dans les entreprises 
nécessitent un accompagnement personnalisé des collaborateurs.

Notre expérience sur plusieurs années du coaching d'entreprise 
a révélé des avantages considérables pour les coachés 
mais aussi pour les entreprises et organisations qui les emploient.
Parmi les principaux avantages :
► L'amélioration des capacités de résolution de problème de l'individu
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► L'augmentation des niveaux de confiance du coaché
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au changement.

Pour les entreprises et les organisations, le recours
au coaching permet :

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plus rapidement 

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l'invite à se centrer sur ses priorités et ses choix. 
Le processus de coaching se concentre sur la situation présente du coaché et sur ce qu'il est prêt à mettre en oeuvre 
pour atteindre ses objectifs. 

ATELIERS PRATIQUES à Marrakech

L'Agile Assessment en team coaching ou coaching d'équipe, que nous vous proposons à Marrakech, Casablanca Rabat et d'autre ville selon votre demande partout au Maroc, consiste à réaliser ensemble une évaluation de vos pratiques à partir d'une multitude d'ateliers et de pratiques. Souvent coupler à d'autres ateliers, cet étape permet de contribuer à l'émergence de futurs activités participatives.

Un travail de restitution sera réalisé à l'issue de ces ateliers, des préconisations seront établies et elles seront accompagnées d'une analyse de risque.

Nous réalisons ces actions dans deux cas de figure pour :

  • Apprécier la qualité des environnements développés par les équipes : l'Agilité de l'Equipe.
  • Observer les mécanismes vitaux de l'organisation générale : l'Agilité de l'Organisation.

Agile Team Coaching : unique à Marrakech partout au Maroc

Nous vous offrons à travers une méthode novatrice au Maroc et participative avec vos équipes, le coaching d’équipe agile, pour les Equipes (IT, Marketing, Commercial, Projets) nécessitant d’améliorer leur agilité de s’intéresser à l’efficacité et l’efficience de l’équipe dans son contexte et ses pratiques. L’ATC s’intéresse à la Satisfaction Client, à la Qualité et à la Performance de l’équipe pour faire évoluer les anciens paradigmes du triptyque Coût-Délai-Qualité. Ce coaching amènera les équipes à travailler sur les sujets suivants pour offrir plus de valeur aux utilisateurs finaux :

  • Valeur métier
  • Implication end-user
  • Livraison fréquente
  • Lever des obstacles
  • Rythme durable
  • Collaboration
  • Devops
  • High quality code
  • itératif

Nous offrons un accompagnement personnalisé et participatif à base d’ateliers et de jeux stratégiques qui mettra en oeuvre des Formations en présentiel, du Conseil et du Management de Conduite de Changement (Organization Change Management).

Nous opérons sur les pricipaux villes du Maroc à Savoir :

  • Agile Team Coaching à Marrakech
  • Coaching d'équipe Agile à Casablanca
  • Agile Team Coaching à Rabat
  • Coaching d'équipe Agile à Mazagan el Jadida...

 

Leadership, Performance et Conduite de Changement - Coaching d'équipe

MANAGER AGILE : ACTEUR DE LA PERFORMANCE

Leadership, Engagement, Processus

Pour les managers, nécessitant de s’adapter à un contexte changeant et à des équipes de plus en plus agiles, l’accompagnement du manager agile est un coaching qui propose de réaligner les processus et fournit une trousse à outils agiles (Kanban, Management Visuel, Cumulative Flow Diagram, Value Stream Mapping, Happy Cards, Indicateurs de leadership) pour travailler l’engagement et la performance des équipes, la mise en place des processus agile. Contrairement aux systèmes traditionnels, l’accompagnement du manager Agile permet au manager de se synchroniser avec la performance de son équipe.

LEADERSHIP

  • Consolider le leadership de vos équipes
  • Générer  votre confiance
  • Favoriser votre expression
  • Créez les conditions propices à la performance
  • Encouragez un vécu de qualité en travaillant vos capacités de leader
  • Identifiez vos forces et vos compétences
  • Reconnaître vos points aveugles et vos vulnérabilités
  • Dynamique d’équipe : Mesurer et faire évoluer

AUGMENTER L’EFFICIENCE D’UNE ÉQUIPE

  • Développer une dynamique positive ;
  • Déterminer les préférences individuelles de votre équipe ;
  • Définir les préférences collectives d’une équipe ;
  • Mettre en évidence les potentialités et les vulnérabilités (compatibilités et incompatibilités) d’une équipe ;
  • Transformer en atouts les différences à l’intérieur d’une équipe ;
  • Intégrer les personnes isolées ou rejetées de votre équipe.

CRÉATIVITÉ, INNOVATIO N ET ENGAGEMENT

  • Encourager l’innovation et la créativité.
  • Accompagnement des services marketing et d'innovation
  • Proposer des outils innovants : Design Thinking, Ocean Bleu, Innovation Games, Lean Startup.

Coaching d’équipe : pour une équipe solidaire et efficace

L’accompagnement du personnel est assez difficile, notamment lorsque les salariés sont tenus de travailler en équipe. Pour vous faciliter la vie, il est judicieux de demander les services d’un consultant en coaching d’équipe expérimenté.

Coaching d’équipe : les objectifs

Le coaching d’équipe est l’un des volets spécifiques de cette méthode d’accompagnement professionnel qu’est le coaching. Lors de cette opération, le professionnel s’occupe uniquement des équipes dans une entreprise donnée. Néanmoins, il ne fait pas de l’ombre au chef d’équipe en charge de l’encadrement. Il peut donner des conseils le temps d’un briefing journalier ou hebdomadaire. Il se focalise essentiellement sur la capacité du groupe à s’organiser et à œuvrer pour l’atteinte des objectifs qu’ils se sont fixés. Il tient également compte de chaque membre constituant l’équipe, de leur capacité à s’intégrer et à participer pleinement au système d’entraide exigé par son métier. Le programme de coaching d’équipe s’étale sur un ou plusieurs mois selon l’excellence des résultats.

Le coaching d’équipe est inséparable du team coaching ou team building. Si le coaching d’équipe se focalise sur la capacité du groupe à s’organiser afin d’atteindre les objectifs fixés au préalable, le building team se base essentiellement sur l’ambiance de groupe et la cohésion d’équipe. Le coach choisi veille à ce que chaque membre constituant l’équipe s’épanouisse dans l’accomplissement de son travail. Les tâches peuvent se révéler ardues. Néanmoins, aucun salarié ne doit ressentir ses responsabilités quotidiennes comme une véritable corvée. Le team building œuvre pour la constitution d’une équipe solidaire, épanouie et surtout efficiente.

Coaching d’équipe : méthodes

Nombreuses sont les méthodes applicables en coaching d’équipe. Autrement dît, chaque professionnel choisi sa propre démarche pour le suivi et la formation d’une équipe. Ils appliquent des méthodes éprouvées et jugées efficaces. Généralement, le professionnel s’attelle à discuter avec le chef d’équipe. Cette conversation lui permet déjà d’entrevoir les compétences du meneur d’hommes en face de lui. Après cette discussion, il organise une rencontre individuelle avec chaque membre constituant l’équipe. Après la prise de contact, le professionnel établit un cahier de charges précisant les objectifs, les méthodes à appliquer et les délais pour la formation proposée. Il apportera sa vision des choses pour chaque projet de l’équipe. Il donnera également une formation poussée en management d’équipes au responsable du groupe.

Le professionnel choisi sera également en charge de l’établissement d’un programme de team building. Généralement, le coach propose des séances de travail ou chaque membre de groupe sera convié à parler de ses impressions, ses craintes et également ses satisfactions. Le coach s’attelle à proposer des théories rigoureuses portant par exemple sur la cohésion d’équipe, l’importance de la communication, le dispatching rigoureux des tâches pour l’atteinte des objectifs fixés au préalable. Le côté psychologique n’est également pas délaissé. Le professionnel interroge chaque membre quant à sa satisfaction dans l’exécution de ses tâches au quotidien. À travers les cours qu’il dispense, il met l’accent sur la motivation d’équipe ou encore l’importance des soins de bien-être et la prise en charge psychologique en entreprise.

Leadership, Performance et Conduite de Changement - Coaching d'équipe

MANAGER AGILE : ACTEUR DE LA PERFORMANCE

Leadership, Engagement, Processus

Pour les managers, nécessitant de s’adapter à un contexte changeant et à des équipes de plus en plus agiles, l’accompagnement du manager agile est un coaching qui propose de réaligner les processus et fournit une trousse à outils agiles (Kanban, Management Visuel, Cumulative Flow Diagram, Value Stream Mapping, Happy Cards, Indicateurs de leadership) pour travailler l’engagement et la performance des équipes, la mise en place des processus agile. Contrairement aux systèmes traditionnels, l’accompagnement du manager Agile permet au manager de se synchroniser avec la performance de son équipe.

LEADERSHIP

  • Consolider le leadership de vos équipes
  • Générer  votre confiance
  • Favoriser votre expression
  • Créez les conditions propices à la performance
  • Encouragez un vécu de qualité en travaillant vos capacités de leader
  • Identifiez vos forces et vos compétences
  • Reconnaître vos points aveugles et vos vulnérabilités
  • Dynamique d’équipe : Mesurer et faire évoluer

AUGMENTER L’EFFICIENCE D’UNE ÉQUIPE

  • Développer une dynamique positive ;
  • Déterminer les préférences individuelles de votre équipe ;
  • Définir les préférences collectives d’une équipe ;
  • Mettre en évidence les potentialités et les vulnérabilités (compatibilités et incompatibilités) d’une équipe ;
  • Transformer en atouts les différences à l’intérieur d’une équipe ;
  • Intégrer les personnes isolées ou rejetées de votre équipe.

CRÉATIVITÉ, INNOVATIO N ET ENGAGEMENT

  • Encourager l’innovation et la créativité.
  • Accompagnement des services marketing et d'innovation
  • Proposer des outils innovants : Design Thinking, Ocean Bleu, Innovation Games, Lean Startup.

Coaching d’équipe : pour une équipe solidaire et efficace

L’accompagnement du personnel est assez difficile, notamment lorsque les salariés sont tenus de travailler en équipe. Pour vous faciliter la vie, il est judicieux de demander les services d’un consultant en coaching d’équipe expérimenté.

Coaching d’équipe : les objectifs

Le coaching d’équipe est l’un des volets spécifiques de cette méthode d’accompagnement professionnel qu’est le coaching. Lors de cette opération, le professionnel s’occupe uniquement des équipes dans une entreprise donnée. Néanmoins, il ne fait pas de l’ombre au chef d’équipe en charge de l’encadrement. Il peut donner des conseils le temps d’un briefing journalier ou hebdomadaire. Il se focalise essentiellement sur la capacité du groupe à s’organiser et à œuvrer pour l’atteinte des objectifs qu’ils se sont fixés. Il tient également compte de chaque membre constituant l’équipe, de leur capacité à s’intégrer et à participer pleinement au système d’entraide exigé par son métier. Le programme de coaching d’équipe s’étale sur un ou plusieurs mois selon l’excellence des résultats.

Le coaching d’équipe est inséparable du team coaching ou team building. Si le coaching d’équipe se focalise sur la capacité du groupe à s’organiser afin d’atteindre les objectifs fixés au préalable, le building team se base essentiellement sur l’ambiance de groupe et la cohésion d’équipe. Le coach choisi veille à ce que chaque membre constituant l’équipe s’épanouisse dans l’accomplissement de son travail. Les tâches peuvent se révéler ardues. Néanmoins, aucun salarié ne doit ressentir ses responsabilités quotidiennes comme une véritable corvée. Le team building œuvre pour la constitution d’une équipe solidaire, épanouie et surtout efficiente.

Coaching d’équipe : méthodes

Nombreuses sont les méthodes applicables en coaching d’équipe. Autrement dît, chaque professionnel choisi sa propre démarche pour le suivi et la formation d’une équipe. Ils appliquent des méthodes éprouvées et jugées efficaces. Généralement, le professionnel s’attelle à discuter avec le chef d’équipe. Cette conversation lui permet déjà d’entrevoir les compétences du meneur d’hommes en face de lui. Après cette discussion, il organise une rencontre individuelle avec chaque membre constituant l’équipe. Après la prise de contact, le professionnel établit un cahier de charges précisant les objectifs, les méthodes à appliquer et les délais pour la formation proposée. Il apportera sa vision des choses pour chaque projet de l’équipe. Il donnera également une formation poussée en management d’équipes au responsable du groupe.

Le professionnel choisi sera également en charge de l’établissement d’un programme de team building. Généralement, le coach propose des séances de travail ou chaque membre de groupe sera convié à parler de ses impressions, ses craintes et également ses satisfactions. Le coach s’attelle à proposer des théories rigoureuses portant par exemple sur la cohésion d’équipe, l’importance de la communication, le dispatching rigoureux des tâches pour l’atteinte des objectifs fixés au préalable. Le côté psychologique n’est également pas délaissé. Le professionnel interroge chaque membre quant à sa satisfaction dans l’exécution de ses tâches au quotidien. À travers les cours qu’il dispense, il met l’accent sur la motivation d’équipe ou encore l’importance des soins de bien-être et la prise en charge psychologique en entreprise.